Présentation du projet
Notre volonté est de venir en aide aux familles brésiliennes en fournissant de quoi acheter un panier repas par famille. Le COVID-19 et ses effets se poursuivent au Brésil : nous souhaitons agir, de là où nous sommes.
Comme vous le savez certainement, la pandémie de coronavirus continue de se répandre fortement au Brésil, les régions pauvres étant plus particulièrement touchées sur le plan sanitaire et économique. Dans ce contexte, nous sommes en train de faire une cagnotte pour acheter des paniers alimentaires aux familles de la ville de Cambui (Minas Gerais).
Des nombreux travailleurs informels, micro-entrepreneurs individuels, indépendants et les chômeurs, n’ont pas pu bénéficier de l’aide d'urgence promise par le gouvernement et ayant pour visée de fournir une protection d'urgence pendant la période de confrontation à la crise causée par la pandémie de coronavirus. Face à ce contexte, plusieurs familles se retrouvent aujourd’hui dans des situation grave de pénurie alimentaire dans l’ensemble du territoire. Notre champ d’action se réduit à la ville de Cambui (Minas Gerais) pour des raisons pratiques et affectives :
- Nous sommes en contact directe avec les femmes représentantes de quartiers plus sensibles. Ces dernières sont en train de cartographier les foyers en situation de précarité.
- Nous ne sommes pas un réseau associatif, l’idée est de venir en aide de façon ponctuelle et au plus vite. Des membres et réseaux amis sur place feront la distribution directement dans les maisons.
A quoi servira l'argent collecté
L'argent collecté servira à fournir une famille composée de 4 personnes un panier-repas et demi pendant 1 mois (cf à titre indicatif : https://produto.mercadolivre.com.br/MLB-1117463282-cesta-basica-completa-52-itens-a-melhor-_JM?quantity=1#reco_item_pos=1&reco_backend=machinalis-seller-items-pdp&reco_backend_type=low_level&reco_client=vip-seller_items-above&reco_id=bac5c0be-043c-4d46-b85c-c97003acbb4e )
1,00€ est équivalent approximativement à 6,00R$
Ainsi nous visons 80,00€ par mois et par famille, pendant les 3 prochains mois.
MERCI
Lorenza Biancarelli et Alban Roblez
Présentation du projet
Avec les différentes mesures liées à l'épidémie du Coronavirus, la situation des étudiant·e·s les plus précaires, isolé·e·s, a empiré. La cessation de l'activité économique qui les prive de travail et donc de revenus, l'arrêt des restaurants universitaires les ont frappés de plein fouet. Le collectif "O’SEM - Orléans Soutient les Etudiant·e·s du Monde", constitué d’enseignant·e·s et/ou chercheur·e·s, de BIATSS (personnels de bibliothèques, ingénieur·e·s, administratif·tives, techniques, ouvriers de service, sociaux et de santé), d’étudiant·e·s de l’Université d’Orléans et de volontaires de la société civile, a pour but de fournir une aide au premier problème rencontré actuellement par les étudiant·e·s : la faim. OSEM s’inscrit dans une dimension d’intérêt général, en s’ouvrant aux publics les plus fragiles, en préservant à ses activités un caractère non lucratif, laïque et apolitique : elle s’interdit toute affiliation partisane.
Ceci passe par la mise en place d’une aide d’urgence, en apportant des éléments de première nécessité aux étudiant·e·s en situation de précarité, notamment les étudiant·e·s étranger·ère·s, accueilli·e·s à l’Université d’Orléans, que ce soit en mobilité individuelle ou encadrée, qui n’ont pas pu rejoindre le foyer familial pendant le confinement. Notre objectif est également de les aider à affronter la précarité de ces prochains mois, dans un contexte universitaire et économique à l'activité restreinte. Nous mettons également en relation chaque étudiant·e le souhaitant avec un tuteur·trice parmi les personnels de l’université et/ou un parrain/une marraine de la société civile, et/ou un binôme étudiant·e. Ce tutorat / parrainage permet non seulement une sortie de l’isolement frappant les étudiant·e·s fragilisé·e·s, mais aussi un accompagnement des étudiant·e·s vers les systèmes d’aides, telles que celles fournies par le CROUS et les services dédiés de l’université d’Orléans, et les diverses distributions de colis alimentaires, qu’elles soient organisées par des associations spécialisées dans l’aide alimentaire, ou par d’autres collectifs universitaires (pour exemple, le collectif initié au CoST - UFR Sciences et Techniques : lire Mag’Centre lien ici).
O’SEM a déjà effectué plusieurs distributions d’urgence, dans le strict respect des consignes sanitaires mises en place actuellement (lire Rep. du Centre, lien ici). Devant l'ampleur de la demande, notre mode d'autofinancement ne peut pas tenir. C’est pourquoi nous faisons appel à votre solidarité et lançons cet appel aux dons. Afin de pérenniser ces actions sur le long terme, ce collectif s'est transformé en association loi 1901, et dispose maintenant d'un site web : http://asso-osem.fr/
Vous êtes étudiant.e et avez besoin de notre aide ? OSEM.aide[at]gmail.com
Notre équipe de volontaires peut s’agrandir ! Vous êtes personnels de l’université, étudiant.e.s, membres de la société civile et vous voulez devenir tuteur/parrain/marraine ? benevole.OSEM[at]gmail.com
Utilisation des dons
Elle sera mise en ligne au fur et à mesure de l’utilisation des fonds. Notre ordre de priorité est le suivant : produits d'alimentation et d'hygiène (panier d'urgence, puis panier de complément à l'aide insitutionnelle) / aide à la connexion pour le suivi des enseignements et examens (carte sim) / aide au réglement des loyers et factures (après la trêve hivernale, si non effectuée par l'aide institutionnelle). Impression flyers à destination des étudiants.
Notre équipe
L'initiative est portée (et garantie) par Lucile Mollet, Fabienne Brulé, Arnaud Menuet, Céline Dubourg, Géraldine Roux, François Héricourt (MCF Biologie), Richard Bouceffa (BIATSS référent maintenance technique), Magali Ribot (PU Mathématiques), Pierre Debs, Thomas Haberkorn, Guillaume Havard (MCF Mathématiques), Fréderic Moal (MCF Informatique), Jérémy Jacob (Chercheur au CNRS), Gwenaëlle Fabre (MCF Linguistique), Hervé Perreau (Ingénieur, Relations Internationales), Milène Carmé (Chargée de mission formation continue)
Fabienne Brulé, Magali Ribot et Lucile Mollet sont les trésorières de cette cagnotte.