papayoux

Votre recherche

Tu trouves que cette réforme est injuste et tu soutiens le mouvement de grève contre un système qui fera baisser les pensions. 

Tu as envie que ce mouvement de grève soit le plus suivi possible dans nos services, de manière à  faire reculer le gouvernement.

Tu as des ami.es, de la famille, des voisin.es, qui voudraient bien donner à une caisse de grève pour soutenir le mouvement mais qui ne savent pas vers qui se tourner.

Nous te proposons de participer à la caisse de grève mise en place par les syndicats FSU SNUTEFE, CGT et SUD au sein de la DIRECCTE Occitanie.

Ta participation permettra d'augmenter les moyens déjà apportés par les organisations syndicales afin de soutenir financièrement les grèvistes de la DIRECCTE Occitanie.

Le recul du gouvernement sur cette réforme n'aura lieu que si la mobilisation est massive et s'inscrit dans la durée.

La caisse de grève finance les agents de la DIRECCTE Occitanie dès lors qu'ils sont grèvistes pendant trois jours au moins, et à compter du permier jour de grève. Il a été décidé de financer à hauteur de 50€ par jour par agent gréviste.

Les organisations syndicales rendront compte au centime près de l'utilisation qui en est faite.

Dans le cas où l'argent récolté ne serait pas utilisé en totalité, le solde sera reversé à des caisses de grève de salarié.es précaires en grève pour leurs conditions de travail ou de salaire.

PS: Papayoux propose une participation supplémentaire pour son fonctionnement, vous pouvez modifier cette somme.

1 300 €
collectés
Terminé

                Soutenez les grévistes d’Eure et Loir

en lutte contre la réforme des retraites.


Pourquoi soutenir les grévistes d’Eure et Loir ?

Pour SOLIDAIRES 28, le mot d’ordre est clair : retrait pur et simple du projet de réforme des retraites!

Pour obtenir satisfaction sur nos revendications, la seule solution est l’amplification d’un mouvement reconductible massif et dans la durée pour bloquer l’économie. De nombreuses caisses de grève existent déjà, dans des établissements ou dans différents secteurs mobilisés. SOLIDAIRES 28 a fait le constat qu’il n’existe pas de caisse de grève dans tous les secteurs en lutte en Eure et Loir ou qu’elles ne sont parfois réservées qu’aux seuls syndiqué-e-s des syndicats.  

À quoi sert cet argent ?

Il servira uniquement à la solidarité avec les salarié-e-s et précaires grévistes d’Eure et Loir :

– qu’elle que soit leur secteur d’activités

- qu’ils/elles soient syndiqué-e-s ou non à SOLIDAIRES 28 ;

Est-ce que mon don servira uniquement à des syndiqué-e-s à SOLIDAIRES 28 ?

L’argent collecté par la fédération sera reversé aux syndicats locaux de différents secteurs en lutte (cheminot-e-s, éducation nationale, culture , finances publiques, entreprise privées) ce qui leur permettra d’abonder les caisses de soutien, et d’organiser la solidarité au plus près des réalités locales.

Comment les personnels pourront-ils et elles faire connaître leur situation pour bénéficier de la caisse de soutien ?
SOLIDAIRES 28 et les syndicats qui la compose (SUD rail, SUD éducation , Solidaires Finances Publiques , SUD Santé sociaux,SUD PTT, etc.) mettront en œuvre leurs moyens de communications syndicaux : affichage sur son site, permanences téléphoniques et mails...

Les salarié-e-s qui souhaiteraient solliciter la caisse de grève peuvent solliciter es syndicats de branches SUD / SOLIDAIRES de leur entreprises / administrations ou bien contacté Solidaires 28 par mail à solidaires28[at]laposte.net .

Et mes données personnelles ?
SOLIDAIRES 28 s'engage à ne conserver les informations personnelles que durant la durée de la campagne (de la collecte jusqu'à la répartition des fonds collectés).

Après, toutes les informations permettant de vous identifier seront détruites.

Une seule exception : la trace comptable du versement pour des raisons légales et de transparence financière.

SOLIDAIRES 28 s'engage à ne vous contacter que dans le cadre de cette campagne.Vous aurez bien sûr conformément à la loi la possibilité sur simple demande de rectifier les informations personnelles vous concernant.

Et quelle confiance puis-je avoir dans le fait que ces fonds seront effectivement répartis entre les grévistes ?

SOLIDAIRES 28 est une union syndicale locale c’est à dire une organisation syndicale regroupant plusieurs secteurs professionnels du public ou du privé. À ce titre, elle fait certifier et publie ses comptes chaque année. Chacun et chacune pourront vérifier que l'argent a été effectivement versé aux grévistes.

 

345 €
collectés
Terminé

Modalités mobilisation contre la réforme des retraites : 

Ouverte aux syndiqués et non syndiqués de l'Education nationale.
- les AED / AESH / contractuels / catégories C, indemnisés dès la première journée de mobilisation ;
- les catégories B il faut 2 journées de grève pour débloquer la caisse (chaque jour est indemnisé, pas de "journée de carence" !) ;
- les catégories A il faut 3 journées de grève pour débloquer la caisse (idem).

Il faudra envoyer le ou les bulletins de paie où on peut lire le retrait de salaire à cette adresse : caisseeduc28@gmail.com et nous vous enverrons un chèque de 20 € par journée de grève après la réunion et validation du comité de suivi des représentants des trois syndicats. 

Prochaine réunion le 22/06

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Sud Education 28 et la CGT Educ'Action 28 ont constitué une caisse de grève départementale pour soutenir les personnels de l'Education nationale durant les différentes mobilisations. 

   A quoi sert cet argent ?

Il sera cogéré par les organisations syndicales Sud Education 28, CGT Educ'Action 28 et FSU 28 pour la solidarité de tous les personnels de l'Education Nationale grévistes.

Qui peut en bénéficier ?

Cette caisse de grève n'est pas pas ouverte en permanence, ne pas hésiter à contacter nos organisations syndicales pour savoir si elle est utilisable pour une mobilisation et à quelle condition : 

cgt.educ28@gmail.com

contact@sudeducation28.org

fsu28@fsu.fr

Tous les personnels grévistes de l'Education Nationale peuvent bénéficier de cette caisse de grève, syndiqués ou non. 

Nous avons établi une priorité d'attribution :

- précaires : AED / AESH / catégories B ou C / contractuels

- celles et ceux en reconductibles ou cumulant le plus de jours de grèves

- tous les autres personnels


  Comment bénéficier de la caisse de soutien ?

Sud Education 28 et la CGT Educ'Action 28 communiqueront sur cette caisse de grève et invitent les personnels de l'Education Nationale grévistes à nous contacter.

CGT éduc'action 28                        FSU 28                         SUD éducation 28

 

 

12 569 €
collectés
Terminé

Cette caisse de grève est à l'initiative Solidaires 37.
Elle est exclusivement liée à la contestation du projet de contre-réforme des retraites et dédiée aux agents mobilisé.e.s dans le mouvement de grève illimité.

L'argent collecté sera distribué aux différents secteurs en lutte dans le département afin d'abonder les caisses de grève locales.

11 430,30 €
collectés
Terminé

Cette caisse de grève est lancée pour aider les militant-e-s de Sud éducation 95 à continuer à construire la grève reconductible contre la réforme des retraites.

Investi-e-s depuis des mois dans la préparation et l'organisation de la grève, nous sommes un certain nombre à avoir suivi les appels à cesser le travail depuis le 5 décembre.

Certain-e-s d'entre nous en sont à plus d'une 10aine de jours de grève au moment où cette caisse est créée. Cela signifie concrètement des salaires amputées de plusieurs centaines d'euros.

La caisse de grève est pour nous un outil permettant de limiter les impacts financiers de la lutte et nous donnons la priorité de son utilisation aux petits salaires et aux précaires commes les AESH, AED/AP et les agent-e-s.

Nous remercions par avance tou-te-s les personnes qui contribueront à cette caisse mais nous rappelons tout de même que c'est en étant un maximum de personnes en grève que nous pourrons sortir vainqueurs de cette lutte.
Participez si vous pouvez mais surtout: soyez vous-même en grève!

300 €
collectés
Terminé

ATSEM, éducatrices de jeunes enfants, animateurs, travailleuses sociales, agents d’État civil, agentes d'entretien et bien d'autres sont chaque jour à leurs postes pour vous offrir un service public de qualité dans des conditions de travail parfois difficiles. Alors qu'on les considérait comme des héros lors de la crise sanitaire pour s'être mobilisés nombreuses et nombreux en première ligne pour assurer la continuité du service communale, voilà comment les agents de la Mairie de Saint-Denis sont remerciés par Mathieu Hanotin : - En leur demandant de travailler plus pour gagner moins. Par la réduction des congés de tous les agents, dont les « congés retraites » qui récompensaient l'engagement d'agents ayant travaillé toute leur vie dans la fonction publique, gagnant bien souvent des salaires modestes. - En retirant purement et simplement la prime annuelle en la remplaçant par un salaire au mérite. En mettant en place un nouveau régime indemnitaire sans concertation, sans dialogue social, par un passage en force. - En méprisant totalement les agents, en les montant les uns contre les autres, en instaurant un climat de défiance à l’intérieur des services. - En attaquant le droit de grève. - En remplacant les grévistes de manière illégale. Pendant ce temps, le nouveau Maire n'a pas hésité à augmenter son salaire de 1 373,63 € par mois (+ 33%) et fera payer par les dionysiens la garde des enfants des élu.es pendant les Conseils Municipaux (enveloppe de 35 000 euros). Nulle part nous ne pouvons justifier que ce soient aux salarié.es de payer la crise et l'austérité en amputant une partie de leurs salaires pendant que ce sont toujours les mêmes qui s'enrichissent. Nos congés, c'est notre santé ! Dans une Mairie où les accidents du travail ont explosé en 1 an (+9%), il est nécessaire de préserver des conditions de travail dignes grâce au repos, si l'on ne veut pas voir la situation empirer. Si la colère est générale, la riposte doit être aussi générale !

648 €
collectés
Terminé

Solidarité avec les grévistes vacataires du département de sociologie

Docteure et doctorants, vacataires et contractuel·le·s du département de sociologie de Dijon sont en grève pour faire part du dysfonctionnement structurel au sein de l'université de Bourgogne. La  situation, et le traitement qui est réservé aux vacataires par l'administration, a aujourd'hui atteint un point de non-retour : certains d'entre nous n'ont pas de contrat de travail avant novembre, d'autres ne verront pas les salaires pour les cours déjà effectués versés avant mi-2021, et certains autres ne se voient pas octroyer la possibilité d'effectuer leur service préalablement prévu.

La grève a commencé le lundi 23 novembre, elle est toujours en cours.

Nos revendications sont les suivantes :

- Mensualisation des rémunérations des vacataires

- Souplesse vis-à-vis des "revenus extérieurs" insuffisants des vacataires, particulièrement en cette période de crise sanitaire

- Titularisation des contractuelles et contractuels exerçant des fonctions pérennes à l’Université

- Éxonération des frais d'inscription en thèse pour les doctorants et doctorantes enseignant plus de 64h ETD

- Plus de moyens humains dans les composantes de l’université de Bourgogne

- Ouverture d'un poste d'A.T.E.R.

À quoi sert l'argent récolté ?

La cagnote servira à atténuer la perte financière qu'implique cette grève pour les vacataires ou contractuel·le·s engagé·e·s pour la fin d'année 2020.

Nous ne lâcherons rien. Cette grève se poursuit au second semestre de l'année universitaire 2020/2021.

3 100 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

« Nous ne sommes pas des Pions ! »

 


Suite au rassemblement des AED le 1er Décembre, le Collectif des AED du 83 a décidé de ré-appeler à faire grève dans les prochaines semaines. C'est dans cette logique que chaque collège et lycée du Var souhaite constituer une caisse de grève par établissement.

 


Nous ne faisons pas appel à votre pitié ou votre charité, mais bel et bien à votre solidarité. Pour pouvoir faire une grève solide, il nous faut des moyens de subvenir. Nos salaires sont très faibles, ce qui nous oblige à faire appel à votre solidarité.

 


Nos revendications sont simples : 

 


- Nous souhaitons une titularisation des AED, car cela ne doit plus être considéré comme un métier d'appoint. Nous devons recevoir des formations pour pouvoir remplir aux mieux nos différentes missions. Enfin d'accompagner les élèves, au mieux, dans leur parcours scolaire.

 
- La titularisation nous permettrais des garder nos AED formé.e.s et passionné.e.s, qui ont à cœur de faire de cet emploie un métier à part entière. Et cela nous permettrais d'avoir de meilleur conditions de vie.

 
- Nous souhaitons de la reconnaissance par une revalorisation de nos salaires, actuellement nous sommes payés au SMIC. 

 
Nous voulons en finir avec la précarisation des AED et l'incertitude.



A quoi servira l'argent collecté

L'argent collecté servira aux AED grévisites du Collège Berty Albrecht de Sainte Maxime, pour leur permettrent de subevnir malgré les fortes pertes de salaire.

Notre équipe

Notre équipe est composée d'AED membre du Collectif des AED du 83.

0 €
collectés
Terminé

Dans le cadre du mouvement de grève nationale du réseau France 3 en Auvergne, certains postes clé pour bloquer la diffusion du journal sont plus impactés financièrement par la grève que d'autres. Voici une cagnotte pour les aider si vous le souhaitez. Chacun est libre de faire un don ou non, qui sera reversé en toute transparence.

600 €
collectés
Terminé

En réponse à nos mobilisations de ces dernières années pour le maintien du Lycée Victor Hugo (3e) dans l’Éducation Prioritaire, le rectorat nous attribue une Dotation Horaire catastrophique, en prétextant une baisse du nombre d’élèves qui ne correspond pas dans les faits aux heures supprimées. En effet, nous perdons 170 heures ce qui ne correspond en rien au nombre de fermetures de classes. Cela n’est ni plus ni moins qu’une manière de nous mépriser davantage et de considérer que les enfants des quartiers populaires n’ont pas le droit d’avoir un enseignement à la hauteur des difficultés qu’ils connaissent. Ces difficultés ont été aggravées par la situation sanitaire qui nous commande de leur donner encore plus d'attention. Le protocole sanitaire mis en place nous a amené à travailler en groupes à effectifs réduits. Le constat est clair : d'une part ces conditions sont nécessaires pour accompagner au mieux nos élèves, d'autre part les élèves ont été privés de nombreuses heures de cours. Ils ont plus que jamais besoin l'année prochaine de continuer à travailler en groupes à effectifs réduits. La baisse des moyens impacte l’ensemble des établissements scolaires et elle va se faire très durement ressentir dans notre établissement. Nous exigeons les moyens nécessaires pour pouvoir continuer à travailler dans des conditions dignes afin d'assurer la formation de nos élèves. 

 

0 €
collectés
Terminé

Gare routière de Perrache : les agents de nettoyage se mettent en grève

 

Depuis plusieurs années les salarié•e•s du nettoyage affecté•e•s à la gare routière de PERRACHE (CELP), en soustraitance actuellement avec la société ARC EN CIEL - dénoncent des faits d’ingérence, de harcèlement et de violences de la part d’un agent de la Métropole.

• Humiliations du quotidien : les salarié•e•s sont empêché•e•s d’échanger avec des passagers ou d’accepter un café de la part des collègues qui tiennent la buvette.

• Inégalité de traitement : les agents de service ne peuvent pas utiliser le parking des personnels, contrairement à tous les autres salariés en sous-traitance.

• Ingérence : cet agent de la métropole donne aux salarié•e•s des consignes contradictoires, se mêle de l’organisation des équipes, les menacent de sanctions.


• Graves manquements à l’obligation de santé et de sécurité : il empêche que soient appliquées les préconisations de la médecine du travail.


• Violences : sifflés sur leur passage, insultés, menacés quand ils tentent de faire respecter leurs droits… les agents de nettoyage travaillent en permanence dans la crainte.

La société ARC-EN-CIEL responsable, la métropole coupable

Les responsables des sociétés de nettoyage qui se sont succédées ont été alertées de la situation par les salarié•e•s du nettoyage.

Ces derniers mois les agents, par l’intermédiaire de leur syndicat, ont alerté la direction de la société ARC-EN-CIEL et son client, la Métropole, sans voir la situation s’améliorer. Au contraire : après leurs témoignages, certain•e•s ont même subi des pressions et des menaces de l'entourage de cet agent.

Le médecin du travail a constaté que leurs témoignages étaient concordants et leur souffrance réelle.

La Métropole, par la voie de Madame KHELIFI - Vice-Présidente aux Ressources Humaines, élue EELV et ex-conseillère prud’homale salariée - a fait savoir dans une unique réponse datée du 1er juin que la situation résulterait du fait que « les salariés de l’entreprise ne semblent pas être bien informés des missions qui sont confiées » à cet agent et que, en tout état de cause, l’obligation de santé et de sécurité relèverait de la seule responsabilité de l’employeur, en l’occurrence de la société ARC-EN-CIEL.

C’est non seulement faux - le donneur d’ordre ayant, lui aussi, un devoir de vigilance à l’égard des salarié•e•s soustraité•e•s - mais aussi parfaitement indécent quand on prétend représenter une nouvelle majorité socialement juste et éthiquement irréprochable !

Aujourd’hui, les agents de nettoyage cessent le travail. Ils demandent :

•Le retrait du site de leur harceleur et la fin immédiate des pratiques d’ingérence de la Métropole dans leur travail
•L’installation pérenne de tous les équipements préconisés par l’inspection et la médecine du travail.
•L’accès au parking des personnels (comme en bénéficient déjà tous les autres salarié•e•s en sous-traitance sur le site).
•Le respect des grilles de qualification conventionnelle, la revalorisation de tous les postes au niveau minimum AQS3 et la prise en compte de notre expérience : certain•e•s d'entre nous sommes encore au grade le plus bas après 30 ans d’ancienneté !
•Une prime panier repas pour tous, travailleuses•eurs de jour comme de nuit
•Un 13e mois intégral

 

Contact :

CNT-Solidarité ouvrière
8 rue Paul Lafargue
69100 VILLEURBANNE
07 70 25 12 95
nettoyage-rh[@]cnt-so.org

635 €
collectés
Terminé

Grève du NH Collection Marseille : la répression continue, 

la solidarité aussi !

 

Quatre ans après la grande grève de 2019, notre camarade Walter est victime de la répression judiciaire et policière, avec une condamnation définitive de plus de 14000€ pour une procédure injuste !

Soutenons le !

 

Rappel des évènements :

En 2019, les femmes du chambre travaillant sur l’hôtel NH Collection Marseille ont mené un mouvement de grève reconductible de 167 jours pour l’amélioration de leur condition de travail et une meilleure rémunération et considération de la part de leur patron, la multinationale des services ELIOR.


En plus de l’acharnement anti-syndical de l’employeur, cette lutte aura subi une répression constante des forces de police, qui auront tout fait pour briser le mouvement et déloger le piquet de grève.

Les grévistes et leurs soutiens ont eu a subir quotidiennement : contrôles d’identité répétitifs, cordon policier devant l’hôtel, poursuites pour « agression sonore » et convocations multiples au commissariat ne débouchant sur aucune procédure sérieuse… 

Le 8 juin 2019, avec une nouvelle descente musclée sur le piquet, les policiers provoquaient une bousculade confuse se terminant par de nouvelles GAV pour quatre camarades, dont une femme enceinte de 7 mois !

La justice de classe a poursuivi la répression, sur la base de procès-verbaux policiers manifestement gonflés. 
Pourtant les accusations policières ont depuis fait largement pschitt : initialement poursuivis pour dégradation, violence volontaire contre personne dépositaire de la force publique, et rébellion… il ne restera finalement que les « dégradations» et la «rébellion» dans les réquisitions.

Après l’audience du 19 avril 2021, ce sont des condamnations pour « dégradation » qui ont été prononcées pour les 4 grévistes et syndicalistes. Nous avons une pensée émue pour la famille des vitrines affreusement dégradées par de la farine et autres substances nettoyables avec un seau d’eau… Et comme il fallait tout de même un coupable, la rébellion aura été retenue à l’encontre du seul homme du quatuor qui a écopé de la peine la plus lourde et qui doit maintenant faire face à de lourds dommages et intérêts pour de supposées séquelles de cette arrestation violente par les agents.  Nous ne ferons pas de commentaires… Nous constaterons cependant que la plainte pour le tabassage de notre camarade au commissariat aura, elle, été classée sans suite...


Face à cette répression qui se poursuit, avec son lot de frais de justice, la CNT-SO 13 appelle à relancer la solidarité, en participant massivement à ce pot de soutien en ligne.
Malgré toutes ces péripéties, l’équipe syndicale du NH Collection est restée debout et a même pu signer un accord satisfaisant une partie des revendications de 2019 avec le nouveau sous-traitant. La lutte paye !

Vive la solidarité ouvrière !

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NH Collection Marseille strike: repression continues! So does solidarity!

 

Four years after the great strike of 2019, our comrade Walter is a victim of both judicial and police repression. He’s been sentenced to a €14,000 fine after an unfair procedure!

Let's support him!

Summary of events:

In 2019, chambermaids working at the NH Collection Marseille hotel led a 167-days renewable strike to improve their working conditions, for better wages and for more consideration from their boss, the multinational service company ELIOR.


In addition to the employer's anti-union relentlessness, strikers and their supports suffered constant repression from the police, who tried everything in their power to break up the movement and dislodge the picket line.


The strikers and their supporters had to endure daily: repetitive identity checks, police cordons in front of the hotel, prosecutions for "noise aggression" and multiple summonses to the police station leading to no serious proceedings...


On June 8, 2019, with a new brutal raid on the picket line, the police provoked a confused scramble. four comrades, including a woman 7 months pregnant were hold in custody.


Class justice continued the repression, based on an obviously inflated police report.


However, the police charges have since largely backfired: initially charged with degradation, violence brought against law enforcement officials, only "degradations" and rebellion have been maintained in the indictments.


After the court hearing on April 19, 2021, 4 strikers and unionists were found guilty of “degradations”.


Our thoughts go to the families of the shop windows horribly damaged by flour and other substances that can be cleaned with a bucket of water... And since we had to find someone to blame, the only man in the quartet has received the heaviest sentence and must now face heavy damages for the supposed after-effects of this violent arrest by the police.


We won't comment...


We will note, however, that the complaint about the beating of our comrade at the police station has been dismissed...

In the face of this ongoing repression, CNT-SO 13 calls for class solidarity by participating massively in this online support pot.

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Huelga del NH Collection Marsella: continúa la represión, 

¡La solidaridad también!

 

Cuatro años después de la gran huelga de 2019, nuestro compañero Walter es víctima de la represión judicial y policial, con una condena final de más de 14.000 € por un procedimiento injusto!

¡Apoyémoslo!

Histórico de hechos:
En 2019, las mujeres de limpieza que trabajaban en el hotel NH Collection Marseille lideraron un movimiento de huelga renovable de 167 días para mejorar sus condiciones de trabajo y mejorar los salarios y la consideración de su jefe, la multinacional de servicios ELIOR.
Además de la implacabilidad antisindical del empleador, esta lucha fue constantemente reprimida por las fuerzas policiales, que hicieron todo lo posible para romper el movimiento y desalojar la línea de piquete.
Los huelguistas y sus simpatizantes tuvieron que someterse a controles de identidad diarios, cordón policial frente al hotel, enjuiciamiento por "agresión sonora" y múltiples citaciones a la comisaria, que no llevaron a ningún procedimiento serio ... 

El 8 de junio de 2019, con una nueva incursión contundente en el piquete, la policía provocó una estampida confusa que terminó con un nuevo GAV para cuatro compañeros, incluida una mujer que estaba embarazada de 7 meses!
La justicia de clase continuó la represión, sobre la base de informes policiales obviamente inflados. 
Sin embargo, las acusaciones policiales han sido desde entonces en gran parte pschitt: inicialmente procesado por degradación, violencia voluntaria contra una persona a cargo de la fuerza pública y rebelión ... Al final, sólo la "degradación" y la "rebelión" permanecerán en las requisiciones.

Después de la audiencia del 19 de abril de 2021, se dictaron condenas por "degradación" para los 4 huelguistas y sindicalistas. Tenemos un pensamiento emocional para la familia de vitrinas horriblemente degradadas por harina y otras sustancias que se pueden limpiar con un balde de agua... Y como todavía se necesitaba un culpable, la rebelión se le imputo al único hombre del cuarteto que recibió la sentencia más severa y que ahora debe enfrentar grandes daños por las supuestas secuelas de los policías en el arresto violento de nuestro compañero por parte de los agentes. No vamos a comentar... Observamos, sin embargo, que la denuncia por la golpiza a nuestro compañero en la comisaria fue cerrada sin seguimiento ...


Frente a esta represión que continúa, con su parte de costos legales, la CNT-SO 13 llama a relanzar la solidaridad, participando masivamente en esta olla de apoyo en línea.


A pesar de todos estas peripecias, el equipo sindical de NH Collection se mantuvo de pie e incluso pudo firmar un acuerdo que satisfacía algunas de las demandas de 2019 con el nuevo subcontratista. ¡La lucha paga !

¡Viva la solidaridad obrera!

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Streik im Hotel NH Collection in Marseille: Die Repression geht weiter, die Solidarität auch!


Vier Jahre nach dem großen Streik von 2019 ist unser Genosse Walter Opfer der juristischen und polizeilichen Repression geworden: er wurde in einem ungerechten Verfahren zu mehr als 14 000 Euro verurteilt! 


Unterstützen wir ihn! 


Rückblick auf die Ereignisse: 

Im Jahr 2019 führten die im Hotel NH Collection Marseille angestellten Reinigungskräfte („Zimmermädchen“) einen 167 Tage andauernden, unbefristeten Streik für die Verbesserung ihrer Arbeitsbedingungen, bessere Bezahlung und die Anerkennung durch ihren Vorgesetzten, dem multinationalen Dienstleistungsunternehmen ELIOR, durch.


Neben der gewerkschaftsfeindlichen Hetze des Arbeitgebers war der Kampf einer permanenten Repression durch die Polizei ausgesetzt, die alles daransetzte, die Bewegung zu brechen und den Streikposten aufzulösen. Die Streikenden und ihre Unterstützer:innen mussten sich täglichen Identitätskontrollen aussetzen, einer Polizeikette vor dem Hotel, strafrechtlichen Verfolgungen wegen "akustischer Aggression" und mehreren Vorladungen auf das Kommissariat, die zu keinem ernsthaften Verfahren führten und alle falle gelassen wurden... 


Am 8. Juni 2019 unternahmen die Polizist:innen einen neuen muskulösen Schaulauf auf dem Streikposten und provozierten ein chaotisches Gerangel, das mit der Ingewahrsamnahme von vier Genoss:innen endete, darunter eine im siebten Monat schwangere Frau ! 


Die Klassenjustiz setzte die Repression auf der Grundlage der offensichtlich aufgeblähten Polizeiprotokolle fort. Doch die polizeilichen Anschuldigungen sind inzwischen weitgehend verpufft: Ursprünglich wegen Sachbeschädigung, vorsätzlicher Gewalt gegen Beschäftigte des öffentlichen Dienstes und Widerstand gegen Vollstreckungsbeamte angeklagt, blieben schließlich nur noch "Sachbeschädigung" und "Rebellion" in den Anträgen übrig.


Nach der Anhörung am 19. April 2021 wurden die vier Streikenden und Gewerkschafter:innen wegen "Sachbeschädigung" verurteilt. Wir drücken unser Mitgefühl für die Familien der Glasfassaden aus, die durch Mehl und andere Substanzen, die mit einem Eimer Wasser gereinigt werden können, auf schreckliche Weise beschädigt wurden... 

Natürlich braucht es trotzdem einen Schuldigen: Der Vorwurf der „Rebellion“ wurde dem einzigen Mann in dem Quartett vorbehalten, dem die Höchststrafe aufgebrummt wurde, und der sich nun konfrontiert sieht mit hohen Schadensersatzforderungen wegen angeblicher Folgen der gewaltsamen Verhaftung durch die Beamten. Wir werden das nicht kommentieren... Wir stellen jedoch fest, dass die Anzeige wegen Misshandlung unseres Genossen auf der Polizeiwache eingestellt wurde...


Angesichts dieser anhaltenden Repression und der damit verbundenen Gerichtskosten ruft die CNT-SO 13 zur erneuten Solidarität und zur massiven Unterstützung der Spendenkampagne auf !


Trotz der zahlreichen Hürden ist die Gewerkschaftsgruppe von NH Collection standhaft geblieben und konnte sogar eine Vereinbarung mit dem neuen Subunternehmer unterzeichnen, die einen Teil der Forderungen von 2019 erfüllt. Der Kampf zahlt sich aus!


Es lebe die Solidarität der Arbeiter:innen!

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SCIOPERO DELL’ALBERGO NH COLLECTION DI MARSIGLIA

LA REPRESSIONE CONTINUA

COSÌ COME LA SOLIDARIETÀ

 

Quattro anni dopo il grande sciopero del 2019, il nostro compagno Walter è vittima della repressione giudiziaria e poliziesca con una condanna definitiva di più di € 14 000 dopo una procedura ingiusta !

Riepilogo dei fatti :

Nel 2019 le donne delle pulizie che lavoravano nell’albergo NH Collection di Marsiglia hanno portato un movimento di sciopero riconducibile di 167 giorni per migliorare le loro condizioni di lavoro nonché i loro stipendi et ottenere più considerazione da parte del loro datore di lavoro, la multinazionale di servizi ELIOR.

Oltre l’accanimento antisindacale della dita, questa lotta è stata costantemente repressa dalle forze di polizia che hanno fatto di tutto per rompere il movimento e impedire il picchetto.

Gli scioperanti e chi li sosteneva ha dovuto subire ogni giorno : controlli di identità a ripetizione, cordoglio di polizia davanti all’albergo, procedimenti per « inquinamento acustico » e convocazioni multiple al commissariato, le quali non hanno mai dato luogo a nessuno procedimento serio.

L’8 giugno 2019, con una nuova intervenzione brutale sul picchetto, i poliziotti hanno provocato un tumulto confuso che si è concluso con l’arresto di quattro compagni, tra cui una donna incinta di 7 mesi !

La giustizia di classe ha proseguito la repressione sulla base di verbali chiaramente esagerati dai poliziotti. Però, nel fratempo, queste accuse sono state sgonfiate : se erano inizialmente prosseguiti per degrado, violenza contro le forze dell’ordine e ribellione, nell’istanza del Procuratore erano rimasti solo i reati di « degrado » e di « ribellione ».

Dopo l’udienza del 19 aprile 2021, condanne per « degrado » sono state pronunciate contro quattro scioperanti e sindacalisti. I nostri pensieri commossi vanno alle famiglie delle vetrine terribilmente degradate da un po’ di farina e altre sostanze che si lavano con un secchio d’acqua. E visto che serviva un colpevole, la ribellione è stata ritenuta per l’unico maschio del gruppo che ha preso la condanna più pesante e deve adesso paga una ciffra molto importante per « danni » per presunte conseguenze durante questo brutale arresto. Non faremo commenti… Notiamo però che la denuncia fatta per il pestaggio del nostro compagno al commissariato è stata, invece, chiusa con un "non luogo a procedere".

Di fronte a questa repressione che continua, la CNT-SO 13 chiama alla solidarietà di classe, via una massiva partecipazione alla cassa di sostegno in linea.

Nonostante tutte queste peripezie, la team sindacale del NH Collection è rimasta in piedi ed è anche riuscita a firmare un accordo incluendo una parte delle rivendicazioni del 2019 con il nuovo subappaltore. La lotta paga !

 

SOSTENIAMO IL NOSTRO COMPAGNO !

4 093 €
collectés
99 jours
restants

Notre école des Grèves à Langueux veut développer et partager la culture et l’histoire de France avec les enfants dès les classes de CM1/CM2. Notre volonté d’ouverture sur l’extérieur s’illustre par les projets de découvertes et d’apprentissages de notre histoire à travers des visites et des voyages. 

Nous souhaitons faire découvrir les grands lieux Parisiens durant 3 jours à nos 30 élèves de CM pour les sensibiliser et leur enseigner les richesses culturelles.

Pour cela, notre école recherche des co-financements ou des apports par donations qui permettront de financer et organiser le voyage des enfants. 


Aussi, nous sollicitons votre collaboration afin de contribuer à ce projet. Nous serions heureux de recevoir votre concours.

Ce projet de classe de découverte a pour objectifs de : 
- faire découvrir notre capitale à des élèves qui ne s’y sont, très majoritairement, jamais rendus 
- y visiter des lieux incontournables riches d’apprentissages et d’ouvertures sur le monde : 
• la tour Eiffel (Pourquoi construire une tour de plus de 300 m) 
• le musée du Quai Branly (animaux étranges et drôles d’histoires en Afrique, Asie, Océanie et Amérique) 
• l’opéra Garnier et le style Napoléon III 
• le jardin des Tuileries (axe royal et jardin à la française) 
• le musée du Louvre (fondations du Louvre médiéval et grandes œuvres) 
• l’île de la Cité et le quartier Montmartre 
- faire vivre une expérience de séjour en collectivité de qualité à des élèves qui ont, pour la plupart, très peu quitté le milieu familial 
- faire découvrir aux élèves des modes de transport différents de ceux utilisés dans leur quotidien : train et métro 
- développer la responsabilité, l’engagement, l’autonomie, l’esprit critique, l’agir ensemble chez les jeunes élèves, contribuant ainsi à leur émancipation.

Un grand merci pour toutes vos participations !

Agathe, Alice, Aliyah, Angèle, Axel, Azéline, Camille, Célestine, Célia, Eddy, Emma, Joséphine, Lisandro, Louis, Louna, Marwane, Maxandre, Mila, Neila, Nina, Sacha, Sara, Sarah, Selene, Sheryll, Sofia, Timéo, Tsetsenbileg, Valentin, Yuna.

612 €
collectés
Terminé

Cette collecte est ouverte afin de soutenir financièrement

nos collègues de FRANCE 24, en grève depuis le jeudi 18 novembre 2021.

Terminé

Après la mobilisation du 13 janvier d'une ampleur exceptionnelle, nous, personnels du lycée Jean Vilar de Meaux, poursuivons la lutte sans relâche

Nous réclamons : 

- le dégel du point d'indice

- une revalorisation salariale de l'ensemble des grilles salariales indiciaires ; 

- une compensation pour la perte du pouvoir d'achat depuis de trop nombreuses années ; 

- un véritable statut de la fonction publique pour reconnaître les métiers d'AESH et d'AED ; 

- la création de postes supplémentaires. 

Dès maintenant agissons et alimentons la caisse de grève permettant d’aider celles et ceux qui se battent pour l’intérêt de tous qu’ils soient syndiqués ou non syndiqués…

Ensemble, défendons l'école publique ! 

 

Merci de votre participation. 

 

 

 

 

0 €
collectés
Terminé

Portes cassées, nettoyage en mode dégradé.
Croix gammées non recouvertes, armes introduites.


Le collège se mobilise en soutien à ses agentes qui depuis des mois subissent des conditions de travail inacceptable : sous-effectif, absences non remplacées, mode dégradé exigé en pleine pandémie, surcharge de travail, victime du manque de surveillance du collège...
Vie scolaire en souffrance : pas assez d'AED pour surveiller le bâtiment, où n'importe qui peut s'introduire puisque toutes les portes sont cassées.

Nous travaillons depuis des années au milieu d'une pandémie, au milieu de travaux bruyants et dangereux, avec trop peu de moyens humains et horaires. Nous n'avons à souffrir davantage de décisions gouvernementales hors-sol. Nous exigeons immédiatement le classement de notre établissement en REP+, l'embauche de trois agent.es, trois AED supplémentaires et le remplacement systématique de tous les professeurs absents, surtout quand les congés parentalité sont prévisibles des mois à l'avance !

Soutenez la mobilisation du personnel de Dora Maar !

Soutenez la caisse de grève pour nos agentes !

385 €
collectés
Terminé

Les nettoyeurs et nettoyeuses, sous-traité-es par ONET pour la RATP, ont lancé un mouvement de grève le lundi 20/02 au dépôt de Pierrefitte (93) avec le soutien de l’intersyndicale CNT-SO, CFDT et CGT pour revendiquer une amélioration des conditions de travail et de rémunération :

- 13e mois
- prime de vacances de 50 % du salaire
- prime de panier de 9,40 €
- majoration travail du dimanche et jours fériés 100 %
- majoration de nuit 50 %
- prime de conduite de 100 €
- prime de froid 100 €
La direction d'ONET, prévenue depuis plusieurs semaines des revendications, a refusé toute négociation.
Les travailleuses et travailleurs exigent, comme les personnels de la RATP, une amélioration de leurs conditions de travail et de rémunération.


La direction d’Onet doit négocier !

 

300 €
collectés
Terminé

Première victoire pour les agent-es de nettoyage en grève depuis le 29 mars à l’ARS Paca… Le combat continue !

Les agent-es de nettoyage sous-traité-es par LASER au siège de l’Agence Régionale de Santé PACA sont en grève depuis le 29 mars : pour l’amélioration des conditions de travail, contre le management brutal et les sanctions imposées pour casser l’équipe.

Après plus de 75 jours de grève, ils ont obtenu une première victoire avec la perte du chantier par les délinquants patronaux de LASER qui prendra effet au 01er octobre. Le combat va continuer jusqu’à cette date pour garantir la totale satisfaction des revendications des grévistes. D’ici là nous avons besoin de la solidarité la plus large !

Participez à la caisse de grève en ligne et aux initiatives de solidarité pour soutenir les camarades ! :

Pour suivre l'actualité du mouvement : https://cnt-so.org/travailler-a-lars-cest-pas-la-sante-les-agent-es-de-nettoyage-en-greve/.

4 928,40 €
collectés
Terminé

Communiqué du collège Fabien, le 15 juin 2022

Nous, personnel mobilisé du collège Fabien, nous nous sommes réunis mardi 14 juin en assemblée générale extraordinaire lors de l’occupation nocturne de notre établissement. Nous avons voté la reconduction de la grève, au moins jusqu’au 22 juin.

Nous demandons la réouverture d’une classe de 6ème, fermée à la rentrée 2021, ainsi que la non fermeture d’une classe de 5ème à la rentrée 2022. Nous exigeons également le reclassement du collège Fabien en REP +, statut qui correspond à notre réalité, comme l’a reconnu le rectorat.

Nous attendons 169 élèves en 6ème,  ce qui fera exploser le seuil des 24 élèves par classe, et empêchera  toute inclusion de nos élèves d’UPE2A et de SEGPA.

L’augmentation du nombre d’élève par classe dégrade les conditions d’apprentissage de tous les élèves et complique le suivi individualisé, auquel ils ont tous droit. De plus, l’établissement ne peut matériellement pas  accueillir plus de 24 élèves par classe.

Devrons-nous installer deux élèves sur une chaise ? Trois élèves par table ? Bloquer les issues de secours en installant des tables ? Limiter les expérimentations en sciences ?

Nous n’avons pas d’autre choix que de nous mobiliser par la grève, confrontés à un dialogue impossible avec la hiérarchie qui refuse de répondre à nos courriers. Quand nous nous déplaçons jusqu’à la DSDEN à Bobigny, on nous oppose une fin de non recevoir, sur le trottoir, entre deux menaces d’amende.

Chaque année, la même situation se reproduit. Chaque année, on nous impose des augmentations d’effectif par classe. Chaque année, nous sommes obligés de nous mobiliser pour conserver nos moyens, déjà insuffisants.

Cette situation n’est malheureusement pas isolée et touche tous les établissements de Seine-Saint-Denis, territoire qui souffre déjà d’inégalités flagrantes.

 

C’est pourquoi nous appelons à une manifestation de tous les établissements sinistrés de Saint-Denis

le mercredi 22 juin à 13h

devant la mairie, pour faire front face à cette politique de casse du service public.

120 €
collectés
Terminé

Un an après la grève,
la Métropole organise nos licenciements

 

 

Par le truchement d’un appel d’offres destiné aux seules entreprises d’insertion, la Métropole cherche à se débarrasser des ex-grévistes de la gare de Perrache.

Harcelé‧es, humilié‧es, violenté‧es par un agent de la Métropole du grand Lyon, nous, salarié‧es de la société ARC-EN-CIEL en sous-traitance, avons initié le 8 juin 2021 un mouvement de grève pour demander le retrait du site de notre harceleur. Onze jours plus tard, la Métropole le retirait du site et sur le site, le travail reprenait.


En juillet, la Métropole de LYON a remis notre chantier sur le marché.Dans la propreté, notre convention prévoit, lors de la reprise d’un site par une nouvelle société, des « conditions de garantie de l'emploi et continuité du contrat de travail du personnel ». Autrement dit, les entreprises passent, les salarié‧es restent.


Sauf que s’agissant de Perrache, la Métropole de LYON a restreint son appel d’offres aux organismes sous « convention d'insertion par l'activité économique ». Dans ce cas de figure, la garantie d’emploi prévue par la convention collective n’est pas systématiquement applicable.


Ainsi nous, salarié‧es qui travaillons depuis des années - plus de 20 ans pour les plus anciens d’entre-nous ! - à la gare de Perrache par l’intermédiaire de sociétés sous-traitantes, et qui avons du lutter collectivement pour défendre nos conditions de travail et nos droits fondamentaux, nous retrouvons aujourd’hui dans l’incertitude quant à notre avenir professionnel du seul fait de la Métropole de LYON qui manipule le droit au travail des personnes en difficulté pour mieux servir ses intérêts et se débarrasser d’une équipe un peu trop revendicative à son goût !


Nous, syndicats de travailleurs‧euses, nous interrogeons sur une politique de l'emploi qui consiste à mettre au chômage une vingtaine d’employés en CDI pour les remplacer… par des emplois précaires et subventionnés !


Nous ne laisserons pas faire et continuerons à nous battre pour nos emplois, pour le respect du droit de grève, contre cette manoeuvre indigne et discriminatoire.


En grève depuis le 10 octobre, ne reprendrons le travail qu’après avoir obtenu des garanties pour la continuité de nos contrats de travail et notre maintien sur le site.

PLUS D'INFO : https://cnt-so.org/les-agent%e2%80%a7es-de-nettoyage-de-la-gare-routiere-de-lyon-perrache-en-greve-illimitee-pour-leurs-emplois/

 

Contact :

CNT-SO 69

nettoyage-rh [@] cnt-so.org

07.70.25.12.95

 

 

Terminé

Soutenez les personnels mobilisés du lycée Romain Rolland ! 

Les personnels du lycée Romain Rolland de Goussainville (95) sont mobilisés pour défendre des moyens suffisants pour garantir des conditions de travail dignes pour l'ensemble des élèves et des travailleurs de l'éducation.

> Pas plus de 30 élèves par classe ! 

> Pour l'augmentation des salaires et leur indexation sur l'inflation ! 

> Pour la titularisation de l'ensemble des travailleurs contractuels et précaires ! 

 

1 320 €
collectés
Terminé

Depuis le 18 octobre 2022, les cheminot·es de la Haute-Savoie se sont engagé·es dans un bras de fer avec la direction SNCF en exigeant un salaire décent dans un département où la vie chère devient insupportable. 

Prenant le pas de nos camarades des raffineries, c'est un mouvement de grève illimité décidé en Assemblée Générale? soutenu par les organisations syndicales SUD-Rail - CGT - FO et qui impacte le périmètre du Léman Express (Annemasse, Annecy, Evian, Bellegarde, St Gervais, ...). 

Le Léman Express, structure dédiée pour anticiper l'ouverture à la concurrence au niveau des TER, est un succès en termes de fréquentation et génère des bénéfices importants ; les cheminotes et cheminots réclament leur part légitimement. 

Les cheminotes et cheminots revendiquent une prime de cherté pérenne de 300 euros brut pour toutes et tous. Gagner en Haute-Savoie aujourd'hui, c'est gagner ailleurs demain ! 

L'ensemble des soutiens financiers versés sur cette caisse de grève sera reversé aux grévistes - syndiqué·es ou non ! 

 

 

 

 

6 710,50 €
collectés
Terminé

Augmentation de la charge de travail, harcèlements, licenciements, ça suffit !!

Depuis l'arrivée de la société Arc-en-ciel sur le centre universitaire de Tolbiac, les conditions de travail des nettoyeuses et nettoyeurs se sont dégradés :

Les salarié(e)s réclament :

 

- la réintégration de Madame Silvamohana Jothivadivel

- l'arrêt des mutations arbitraires

- le respect des travailleuses et des travailleurs

- la réduction de la charge de travail accompagnée de recrutements

- l'augmentation des qualifications et des salaires

- un treizième mois

- prime de décapage pour tous

- paiement des heures supplémentaires

- virement du salaire ou chèque au plus tard le 7 du mois

- l'embauche de tous les CDD

- l'internalisation.

 

Art en ciel pratique partout de la même façon : à la faculté de Jussieu, la grève du printemps dernier avait les mêmes causes.

La direction de la faculté doit prendre ses responsabilités et imposer à son sous-traitant de respecter le droit du travail.

Terminé

Présentation de mon projet

Les journalistes de la Nouvelle République du Centre-Ouest qui représentent les titres "La Nouvelle République" et "Centre Presse" sont en grève pour demander une meilleure revalorisation salariale et de meilleures conditions de travail. 
A quoi servira l'argent collecté

Les sommes collectées seront redistribuées aux journalistes grévistes afin d'amoindrir le coût de la grève. 
Notre équipe

La grève est organisée par l'intersyndicale SNJ - SNJ-CGT de la rédaction. 
Pour les projets


6 964 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Caisse de grève du lycée Maupassant 

A quoi servira l'argent 

Pour les AEDs et les collègues 

645 €
collectés
Terminé

Présentation du projet
Démarré le 14 novembre, le conflit social chez le géant français du médicament touche désormais une quinzaine de sites. Depuis le 24 novembre, des salariés de sanofi Recherche R&D Montpellier sont entrés dans le  mouvement de grève national et sont mobilisés pour une hausse des rémunérations. Quand sanofi annonce encore des bénéfices records, le géant pharmaceutique qui se nourrit grace à notre systeme de santé et à l'argent public, préfére remunérer les actionnaires plutot que d'augmenter ces salariés.

Voici quelques chiffres :

BENEFICES annuels 8 MILLIARDS d'euros

DIVIDENDES versés aux actionnaires 4 MILLIARDS tous les ans (41 milliards rien que ces 10 dernieres années)

AUGMENTATIONS collectives proposées pour 2023 : 4 % pour les non cadres, 3 % pour les cadres + une prime de partage de la valeur de 2000 €.

Quand l'inflation de 2022 est deja largement superieure à 6%, les miettes accordées aux salariés ne couvrent meme pas la perte de pouvoir d'achat de l'année en cours. Sanofi (comme toutes les entreprises du CAC40) a les moyens de faire beaucoup mieux.

pour exemple, en ponctionnant moins de 5 % des dividendes versés aux actionnaires qui ne travaillent pas, on pourrait augmenter de 10 % la TOTALITE de TOUS LES SALARIES DE SANOFI EN FRANCE.

Ce mouvement social est "historique" , par sa durée et son ampleur. Après deux semaines de grève, il devient urgent de soutenir financierement les salariés qui tiennent la dragée haute à la direction méprisante.

A quoi servira l'argent collecté

Cette cagnotte va nous permettre de verser dès que possible, une aide pour subvenir à l'urgence alimentaire et energetique des salariés en grève.

La grande majorité des salariés mobilisés font partie des plus petits salaires de sanofi. Ils ont besoin de votre soutien financier pour tenir et faire plier la direction.

Le 09/12/2022, nous avons recuperé 2500 € de la cagnotte pour commencer à distribuer cette aide d'urgence aux salarié.es grevistes. D'ores et deja merci pour eux, votre générosité nous montre votre solidarité. 

Le 12/12/2022, Second retrait de 2500 €. Les salariés entament leur 3ème semaine de grève.

Le 13/12/2022, Second retrait de 5000 €. Les salariés entament leur 3ème semaine de grève.

Le 14 décembre 2022, après 2 semaines et demi de grève et de mobilisation sur le site de Montpellier, Les salariés ont décidé de ne pas reconduire le mouvement. Ce mouvement a été exceptionnel par sa durée et sa détermination,  malheureusement cela n'a pas suffit pour gagner cette bataille contre ce géant du CAC40. Après 1 mois de greve du coté de nos collègues de l'industriel et des vaccins, quelques miettes auront tout de meme été arrachées à sanofi qui augmentera de 4% brut les salariés non cadre (talon de 1500 € brut/an), de 3 % brut les salariés cadres (+1.3 % d'augmentation dite au mérite pour ces derniers) accompagnée d'un prime PPV (ex macron) de 2000 € (totalement défiscalisée !). On est loin du compte car l'inflation atteint aujourd'hui 6,2 % selon l'INSEE mais depasse les 14% quand on prends les 37 produits du quotidien (https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/panier-france-bleu-decouvrez-les-prix-de-nos-37-produits-phares-dans-votre-departement-5480845). 

Votre générosité est elle aussi EXCEPTIONNELLE car elle va permettre de soulager de façon conséquente les salariés les plus engagés.

A ce jour plus de 23 personnes ont pu etre aidé par un premier versement (110 €) de notre cagnotte et ce n'est pas fini. Nous continuons a vous tenir au courant de la redistribution (nous attendons les seconds et troisième virements). Notre caisse reste de toute façon ouverte. 

Le 17 Décembre 2022, le montant de la cagnotte continue de grimper et nous avons décidé d'ajouter les personnes qui avaient refusé la première aide. grace à vous ce sont maintenant près de 27 personnes qui vont recevoir une seconde enveloppe (250 €). cet argent va contribuer fortement à reduire l'impact de leurs 2,5 semaines de grève à 100%. Nous prevoyons d'ores et déjà un troisième versement car la générosité est toujours présente.

Le 19 décembre 2022, 4eme retrait de 5000 euros. Nous allons pouvoir donner encore 200 euros à chacune de 27 personnes. Le montant moyen par personne est aujourd'hui d'environ 550 euros. C'est incroyable. La période des fêtes nous oblige à envisager une pause de quelques jours. Passez de bonnes fêtes.

Le 30 Janvier 2023, la cagnotte est cloturée definitivement avec 17212 €. Grace à vous, les 27 personnes les plus impliquées ont pu recevoir plus de 650 € chacun ce qui represente environ 1/3 de salaire mensuel. C'est exceptionnel. merci encore pour votre générosité qui a envoyé un message clair sur votre solidarité et sur la légitimité du mouvement  qui aura duré près de 3 semaines.

Merci encore à tous.

Notre équipe

Militants syndicalistes de SUD Chimie et de la CGT. Nous nous engageons à reverser aux salariés/grevistes l'integralité des sommes récoltés sans aucune distinction syndicale (syndiqués ou pas, peu importe)

Nous vous tiendrons informés de l'utilisation des sommes récoltées (nombre de personnes, ..)

Pour les projets
voir twitter @antisanofric, @CgtSanofi, @SudChimie

Facebook les sanofi, CGTsanofi

 

17 212 €
collectés
Terminé

Caisse de grève pour soutenir les précaires AED et AESH du collège Victor Schoelcher

Les primes REP+ ne sont toujours pas acquises pour les AED et les AESH. Il nous faut nous mobiliser et faire grève si on veut imposer à l'administration d'appliquer nos droits et conquérir un vrai statut à la hauteur de nos missions. Les personnels précaires seront aussi les plus impactés par la réforme des retraites à venir et les futures réformes de la fonction publique.

Soutenez les AED et les AESH dans leurs grèves

Pour nous aider à obtenir nos droits entiers, alimentez la caisse de grève !

La caisse de grève est gérée collectivement par l'ensemble de l'intersyndicale du collège

Sur la base des services non faits, nous n'utiliserons cette caisse de grève que pour rembourser les jours de grève aux AED et AESH, à la hauteur du montant cotisé.

685 €
collectés
Terminé

Dans le cadre de la mobilisation contre la réforme des retraites impulsée par le gouvernement, nous vous proposons de créer une caisse de grève autogérée. La caisse de grève est en effet un outil fondamental pour renforcer notre capacité à nous mobiliser par la grève, y compris reconductible, en atténuant partiellement son coût notamment pour les plus fragiles et précaires d'entre nous. Cette caisse vient aussi s'ajouter aux autres caisses de grève gérées par les organisations syndicales ou des collectifs de lutte. 

Cette caisse s'adresse à tous les agent.es et personnels, contractuels et titulaires, fréquentant le site Pouchet du CNRS : chercheur.es CNRS, personnels ITA-BIATSS, enseignant.es-chercheur.es, doctorant.es, docteur.es sans poste, post-doctorant.es, personnels sous-traitants pour le CNRS (accueil, sécurité, cantine, ménage-entretien, etc...). Ce soutien est donc ouvert à tous ces personnels et le montant versé sera modulé en fonction des situations.

A titre indicatif, et selon votre statut, il peut être recommandé de reverser un trentième de votre salaire les jours de grève et de mobilisation si vous n'êtes pas recensé.es en tant que gréviste par votre administration ou votre employeur. 

Les demandes de soutien sont à envoyer à usagers.upspouchet@gmail.com avec tout document appuyant votre demande (fiche de salaire avec jours déclarés, vacations non payées, jours de travail non payés pour les sous-traitant.es, etc...) avant le 20 février.
Une réunion sur le site Pouchet sera organisée durant la semaine du 20 février (date, horaire et salle à confirmer) et les demandes de soutien seront discutées et actées collectivement. Mais en fonction de l'évolution de la mobilisation, notamment en cas de grève reconductible, nous nous réservons la possibilité d'avancer cette réunion début février.


En vous remerciant pour votre participation !
Pauline, Thomas et Vincent pour le collectif "Usagers Pouchet"

1 788 €
collectés
251 jours
restants

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.

Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Elle va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

L'ensemble des organisations syndicales appellent à la grève reconductible pour le 19 janvier.

Pour que les salarié.es puissent se mettre en grève, une seule solution : disposer d'une solide caisse de grève dans chaque lieu de travail pour soutenir les grévistes. C'est le cas à l'ENS où beaucoup de salarié.es ne peuvent pas se permettre de perdre des jours entiers de salaire. Soutenir la grève, c'est participer à la caisse de solidarité selon nos possibilités.

On lâche rien !

Les modalités de redistribution de la caisse de grève seront discutées et décidées lors des AGs intersyndicales!

6 128 €
collectés
Terminé

Caisse de grève de l'Université Paris-Saclay

 

Pour soutenir la mobilisation:

- Soutenir ceux qui se verrait retenir leur jour de grève par l'Université

- Soutenir les frais de la mobilisation : Tracts, autocollants, banderoles, bus le cas échéant.

- Soutenir des caisses de grève nationale


La caisse est suivie par une commission "caisse de grève", l'argent récupéré sera géré par la CGT Université Paris-Saclay.

 

16 634,84 €
collectés
Terminé

L'argent collecté ici servira à soutenir la lutte des personnels du lycée Galilée contre la réforme du lycée professionnel. La caisse de grève vise à permettre à un maximum de collègues de faire grève, en compensant partiellement la perte de salaire de celles et ceux qui ne pourraient pas se permettre de renoncer à une journée complète de salaire.

Chacun-e est libre de participer ou non, selon ses moyens.

850 €
collectés
67 jours
restants

La CGT des collaborateurs et collaboratrices parlementaires a créé une caisse en solidarité aux grévistes mobilisé·e·s contre la réforme des retraites. Vous pouvez y participer en ligne. 

Nombreux et nombreuses d'entre nous souhaitent apporter leur soutien aux salarié·e·s en lutte en contribuant financièrement. Ainsi, si vous souhaitez leur apporter votre soutien notre syndicat organise la solidarité financière qui leur sera entièrement dédiée avec une redistribution transparente à un ou plusieurs secteurs professionnels concernés.

7 399,30 €
collectés
Terminé

Caisse de grève des personnels du collège Jean Moulin de Sannois (pour l'année 2023)

Le but de cette caisse est de créer de l'entraide à destination des personnels du collège mobilisés, notamment les plus précaires (AED, AESH, etc.). L'argent récolté sera utilisé pour indemniser partiellement les grévistes qui en ont le plus besoin.

En ce moment, nous sommes engagés pour le retrait de la réforme des retraites

Dans notre collège, plus de 75% des enseignant-es, 100% de la vie scolaire et des personnels du pôle médico-social et de secrétariat se sont engagés dans la grève les 19 et 31 janvier, les 7 et 16 février et à partir du 7 mars. Des personnels sont également en grève reconductible certains jours, pour dégager du temps pour construire et amplifier la mobilisation. Pour se faire entendre et obtenir le retrait de cette réforme brutale, injuste et injustifiée, il faut nous préparer à durcir le mouvement et reconduire la grève ! C'est pour cela que nous avons besoin de la solidarité de tous pour aider les personnels à tenir sur la durée !

Cette caisse servira également pour d'autres mobilisations, notamment dans le cadre de la lutte pour obtenir plus de moyens nécessaires au bien-être et à la réussite de nos élèves !

Les personnels mobilisés avec le soutien de leur intersyndicale CGT-FSU-FO-SUD

490 €
collectés
Terminé

Qu'est-ce qu'une caisse de grève ? 

Une caisse de grève est un fonds servant à soutenir financièrement des grévistes, elle est généralement alimentée par des dons.

 

A quoi ça sert ? 

Une caisse de grève sert à compenser la perte de revenu des grévistes en s'organisant collectivement et en appelant à la solidarité.

Elle sert, en priorité, à soutenir les collègues dont les situations sont les plus précaires.

 

Pourquoi faire un don ?

La situation économique actuelle est difficile pour une grande majorité des personnes mais seule la solidarité peut nous permettre de nous organiser pour agir.

Faire un don à une caisse de grève, c'est permettre à des personnels de se battre pour leurs droits et de faire entendre leurs voix. 

Toute aide, si infime puisse-t-elle paraître, est la bienvenue. 

 

Quelques mots sur le collège et ses équipes : 

Notre établissement est un collège de taille moyenne situé en région parisienne, à proximité d'un quartier Politique de la Ville.

Notre équipe comprend des Assistant(e)s d'Education (AED), des Conseillères Principales d'Education (CPE), des Accompagnant(e)s d'Eleves en Situation de Handicap (AESH), des personnels Administratifs, Techniciens, Ouvriers et Services (ATOS) ainsi que des enseignant(e)s. 

Les AED, les AESH et les ATOS sont prioritaires pour l'utilisation de la caisse de grève. 

 

Qui gère la caisse de grève du collège ? 

La caisse est gérée par plusieurs collègues de l'établissement, syndiqué(e)s ou non. 

1 355 €
collectés
Terminé

            38 570 salarié.e.s de l’associatif en Haute Garonne : on arrête tout!

Travailleuses et travailleurs des assos : Pour une retraite digne, en GRÈVE reconductible & en Assemblée Générale !

►Parce que travailler dans l’associatif c’est souvent des petits salaires, du temps partiel subi, des carrières hachées, des périodes de chômage, etc. : le tout réalisé à 70% par des femmes 

►Parce que nous sommes un véritable laboratoire de la précarité où le recours aux stagiaires, volontaires en service civique sans salaire et cotisations au rabais, contrats dérogeant au droit du travail, sont légions

►Parce que reculer l'âge de départ à la retraite, c'est se priver de l'écrasante majorité des bénévoles qui font vivre les associations

 

                  Dans les assos, la retraite à 64 ans c'est ENCORE ET TOUJOURS NON !


La première manifestation intersyndicale a eu lieu le 19 janvier 2023. Pour nos associations, l'Assemblée Générale a appelé à la reconductible à partir du 7 mars. 4 semaines plus tard, on est toujours là, prêt.e.s à défendre nos droits !
Ne laissons pas la fatigue et la sidération face aux violences policières prendre le dessus sur notre détermination ! Continuons à faire grève, en faisant appel si besoin à la caisse de grève des assos (caissegreveasso31@riseup.net) ! Il est l'heure de rediscuter de comment tenir, comment continuer sans s'épuiser, comment être fort.e.s et endurant.e.s ensemble face à e gouvernement sourd. On est plus déter que Macron, Borne et Darmanin !

 

Le programme de la 4e semaine de grève reconductible pour les assos

MERCREDI 5 avril à Toulouse, les salarié.e.s, bénévoles, militant.e.s des assos se retrouvent pour une journée d'actions
Deux rendez-vous possibles : 9h30 et 13h30, à La Chapelle au 36 rue Danielle Casanova, Toulouse
Selon les forces et les envies : tournée des assos, collage dans la ville, ...

 

JEUDI 6 avril, on se retrouve pour un piquet de grève des assos, l'Assemblée Générale et un cortège asso en manif
9h30-11h Piquet de grève du secteur associatif, place Belfort, Toulouse. à 10h30 le BINGO des BINGOS pour continuer à se rencontrer et échanger !


11h-14h ASSEMBLÉE GENERALE des assos, avec tour des commissions dont présentation de 2 nouvelles : l'antirep et l'inter-AG qui fera le lien avec les autres secteurs en lutte

14h La criée des assos : pour se donner de la force, coups de gueule, coups de joie dans nos assos, pépites de la mobilisation, lecture de textes politiques et poétiques, nouveaux slogans et chants à partager


Ensuite nous rejoindrons ensemble   la manifestation prévue à 14h30 à Jean Jaurès  
Le cortège inter-asso partira de la place Belfort.

dès 18h La Chapelle sera ouverte à toustes celles et ceux qui veulent se retrouver après la manif

 

Un préavis de grève du syndicat ASSO-Solidaires couvre les salarié.e.s qui souhaitent se mettre en grève pour tout le mois d'avril.

Le gouvernement n’abandonnera cette réforme, que si nous créons un rapport de force dans la durée - et nous en avons les moyens!

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Cette caisse de grève est gérée par l'AG Inter Associations et le syndicat ASSO-Solidaires 31. 

 

                           

4 686 €
collectés
Terminé

Caisse de grève en solidarité à l'ensemble des travailleurs et travailleuses du lycée des Graves de Gradignan (33) en lutte contre le projet de réforme des retraites (injuste et inutile) du gouvernement, et pour une répartition égalitaire des richesses et du travail. Ensemble on va gagner ! 

1 010 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Cette caisse de grève a pour objet de soutenir tous les personnels du lycée Maurice Utrillo se mettant en grève dans le cadre d'un mouvement local ou national.

A quoi servira l'argent collecté

Cette caisse servira a rembourser tout ou partie des salaires perdus à l'occasion d'une ou plusieurs journées de grève. La caisse de grève est destinée en priorité aux personnels aux salaires les plus bas.

2 921 €
collectés
Terminé

Caisse de grève du collège Fabien contre la Réforme des retraites !


Face à l’offensive du gouvernement à travers sa réforme des retraites, le Collège Fabien veut inscrire sa lutte dans la durée en reconduisant la grève autant que possible ! 

Nous avons déjà reconduit la grève le lundi 6, mardi 7 et mercredi 8 février. 

Nous continuerons à reconduire cette grève, en proposant des actions, des initiatives et en manifestant notre colère. 

 

Pour nous aider dans cet objectif, vous pouvez contribuer à notre caisse de grève.

 

Cette caisse de grève permettra de soutenir en priorité les grévistes en grève reconductible faisant partie des bas salaires de notre établissement (AED, AESH, Agents…) ainsi que les collègues grévistes dans le besoin.


Plus tard, cet argent pourrait aussi servir à soutenir notre lutte pour avoir plus de moyens et demander une amélioration de la DHG (dotation horaire globale) prévue pour notre établissement. 

 

Merci d'avance pour votre soutien !

6 411 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Caisse de grève pour les personnels du lycée Le Corbusier d'Aubervilliers

A quoi servira l'argent collecté

Apporter un soutien matériel aux personnels en grève du lycée Le Corbusier d'Aubervilliers

Communiqué du 17 mars :

Pas de bac en mars ! Pas de retraite à 64 ans !
Grève des surveillances au lycée Le Corbusier (Aubervilliers)
Depuis le 19 janvier nous revendiquons un retour à la retraite à 60 ans (et aux 37,5 annuités sans décote). Jeudi 16 mars, le gouvernement a dépassé les limites de la violence et du mépris en imposant par 49-3 la loi de la réforme des retraites à 64 ans, non seulement contre la population, mais également contre l’Assemblée Nationale.
Le gouvernement agit avec toujours plus de brutalité, qu’il s’agisse de réformer le bac ou de réformer les retraites. Lundi 20 et mardi 21 mars auront lieu les épreuves du bac Blanquer, alors que l’année scolaire est loin d’être terminée. Ces mêmes jours se tiendront les discussions autour de la motion de censure. Nous pensons qu’il est de notre devoir de nous emparer de ce moment pour faire entendre notre opposition à la réforme des retraites ainsi qu’à la dégradation des conditions d’étude et de travail au lycée.
Nous serons en grève de la surveillance des épreuves du baccalauréat lundi et mardi. Nous appelons tous les personnels de l’Education Nationale à se joindre à nous pour faire entendre la nécessité d’un sursaut démocratique.
Notre action se poursuivra le jeudi 23 mars à l’appel de l’intersyndicale par la grève et la
manifestation, et nous appelons toute la population à nous y rejoindre.

1 615 €
collectés
149 jours
restants

UNE CAISSE DE GRÈVE À SCIENCES PO BORDEAUX : POURQUOI, POUR QUI, COMMENT ?

Le collectif d'enseignant·e·s et personnels grévistes de Sciences Po Bordeaux a mis en place une caisse de grève à destination de tous les personnels, enseignant·e·s et intervenant·e·s grévistes de l'IEP souhaitant en bénéficier. 

Cette caisse de grève permet à tous·tes celleux qui le peuvent de soutenir financièrement les grévistes de l'IEP pour qui le coût de la grève ne serait pas soutenable

Vous pouvez abonder la caisse de grève du montant que vous souhaitez.

Pour qui ?

Tous les personnels, enseignant·e·s et intervenant·e·s à l'IEP (internes ou externes) grévistes dans le cadre de la mobilisation nationale contre la réforme des retraites. 

Les bénéficiaires potentiel·les peuvent se déclarer à l'adresse mail suivante : collectif.retraites.scpobx@gmail.com.

Pour quoi ?

Pour aider financièrement les bénéficiaires en diminuant autant que possible les pertes de salaire liées à la grève pour celles et ceux qui en auraient besoin. 

Comment ? 

La récolte se fait sur Papayoux Solidaire et les fonds seront distribués aux bénéficiaires déclarés au début du mois de mars selon des modalités qui seront votées en Assemblée Générale. 

Les gestionnaires

Cette caisse est co-gérée par Sébastien Le Moing et Hugo Verrier, doctorants au Centre Émile Durkheim. Toutes les décisions concernant son organisation sont prises en Assemblée Générale à la majorité. Pour vous tenir informé·e de la tenue des AG et de la mobilisation dans l'IEP, vous pouvez vous abonner à la mailing list de la mobilisation en cliquant ici.

2 031 €
collectés
Terminé

Caisse de grève pour soutenir les précaires AED (assistant-e-s d'éducation) et AESH (accompagnant-e-s d'élèves en situation de handicap) du Rhône

Il nous faut nous mobiliser par la grève si on veut imposer à l'administration d'appliquer nos droits et conquérir un vrai statut et un salaire décent à la hauteur de nos missions. Les primes REP+ ne sont toujours pas acquises pour les AED et les AESH. Les personnels précaires seront aussi les plus impactés par la réforme des retraites à venir et les futures réformes de la fonction publique.

Soutenez les AED et les AESH dans leurs grèves

Pour nous aider à obtenir nos droits entiers, alimentez la caisse de grève !

La caisse de grève est gérée collectivement pas les militant-e-s à l'initiative de la coordination AESH / AED, syndiqué-e-s ou non.

Au-delà de cette caisse, nous poussons chaque AED ou AESH à se rapprocher des militant-e-s syndicaux de leurs établissements. Il existe également des collectifs locaux qui tiennent des caisses de grève, et, surtout, peuvent soutenir la mobilisation : des 3e/7e/8e/Vénissieux, de Vaulx en Velin, de Villeurbanne, du 9e…

Pour les syndiqués, joignez votre syndicat : une aide est prévue dans la majorité des syndicats.

Sur la base des services non faits, nous n'utiliserons cette caisse de grève que pour rembourser les jours de grève aux AED et AESH qui ne le sont pas déjà par d'autres caisses, à la hauteur du montant cotisé.

737 €
collectés
Terminé

Caisse de grève pour permettre aux personnels les plus précaires du Collège de se mettre en grève lors des journées nationales de mobilisation contre la réforme des retraites

Contact pour demandes : caisse_cdf@ouvaton.org

À l'initaitive d'un collectif de personnels du Collège de France (syndiqué-es CGT, FSU, Solidaires ou non-syndiqué-es), la mobilisation s'organise.

 

Cette cagnotte a pour but de permettre aux personnels n'ayant pas les moyens financiers de se priver d'un jour de rémunération de se mettre en grève et de venir aux AG, manifestations, etc. ; et accessoirement de permettre à celles et ceux qui ne peuvent pas faire grève pour d'autres raisons de soutenir la mobilisation.

À ce jour, la cagnotte a déjà financé un total de 27 jours de grève répartis sur 5 personnels mobilisé-es, dont certain-es ne font pas partie du collectif (soit un total de 1100€)

 

Prochaines dates

?

 

Rappel sur votre droit de grève

Vous n'avez pas à vous déclarer en grève, c'est votre chef·fe de service qui doit constater physiquement votre absence et vous demander ensuite (typiquement lors de votre retour au travail) si vous étiez en grève. Bien que ce soit contraire au droit européen, les personnels de la Fonction Publique d'Etat perdent 1/30e de leur salaire par jour en cas de grève, même si la grève ne dure que 45 minutes : quitte à faire grève, autant le faire toute la journée.

 

Si la cagnotte est excédentaire, nous la conserverons pour d'autres mobilisations à venir ou la reverserons à une autre caisse de grève (à décider par vote)

 

Pour contacter ou rejoindre le collectif CDF retraites, envoyez un mail à retraites-cdf@agora.ouvaton.net

 

2 096,20 €
collectés
Terminé

La CNT-SO a ouvert une caisse en ligne dans le cadre du mouvement retraite pour accompagner les travailleur-euses et équipes syndicales en lutte. 

Depuis le 19 janvier, nous nous mobilisons massivement dans les rues et les journées de grève s’accumulent. Pour contraindre le gouvernement à reculer, seul le rapport de force dans la durée, va compter ! Cela passe par la poursuite des actions quotidiennes engagées depuis le 7 mars et qui se sont renforcées après le 49.3 : grèves sous toutes les formes, actions de solidarité interprofessionnelle, occupations, blocages économiques, manifestations…

La CNT-SO regroupe majoritairement des travailleurs et travailleuses des secteurs les plus exploités et précarisés de la classe ouvrière : nettoyage et sous-traitance hôtelière, restauration, bâtiment, aide à domicile, Intérim… Ces métiers à la pénibilité mal reconnue et au bas salaires, seront les plus durement touchés par l’augmentation de la durée du travail. 

On l’a vu avec le COVID, ces métiers sont essentiels au fonctionnement de l’économie et de la société, une extension du mouvement dans ces secteurs est indispensable pour gagner ! La solidarité financière est une des clefs de la réussite de la mobilisation. 

Notre lutte commune est  aussi confrontée à la répression grandissante d'un pouvoir dépassé. La répression s'exprime par la violence policière mais aussi par la justice de classe avec des poursuites et condamnations impliquant souvent un coup financier élevé auquel nous devons faire face collectivement.

Soutenez la caisse de grève et de solidarité de la CNT-SO !

34 292,05 €
collectés
Terminé

Une caisse de grève contre la réforme des retraites

La mobilisation contre la réforme des retraites prend de l'ampleur et il s'agit maintenant de passer à la vitesse supérieure. C'est pourquoi l'assemblée générale des personnels et étudiants de l'université de Bourgogne a décidé de mettre en place une caisse de grève pour que le mouvement de grève à partir du 7 mars soit le plus conséquent et pèse le moins possible sur nos salaires.

A quoi servira l'argent collecté ?

L'argent collecté servira directement aux personnels de l'université de bourgogne en grève.

Je suis gréviste. Comment bénéficier de la caisse de grève ?

C'est très simple, il suffit de suivre le lien ci-dessous pour remplir un formulaire.

https://framaforms.org/formulaire-pour-beneficier-de-la-caisse-de-greve-ub-1677229991

Si vous avez des questions : caisse.greve.ub@proton.me


Quelle équipe gère cette caisse de grève ?

La caisse de grève a été décidée en assemblée générale. Elle est mise en place et animée par un groupe de travail composé des personnels de l'université des organisations syndicales CGT, FO, FSU et SUD.

Suivre l'actualité de la caisse de grève.

Nous sommes présent sur les réseaux suivants :

Instagram - Caisse de grève uB

Twitter - @CaisseGreve_uB


Comment nous contacter ?

Pour toute demande vous pouvez nous contacter par ce mail : caisse.greve.ub@proton.me

 

Le groupe de travail caisse de grève (CGT Ferc sup uB, FO ESR Bourgogne 21,  Snesup-FSU Bourgogne, SUD Éducation 21-71)

3 777 €
collectés
Terminé

Présentation du projet


Le Collectif Val d’Oise Est rassemble des travailleuses et travailleurs du Val d'Oise Est, luttant contre la réforme annoncée des retraites.

Non cette réforme n'est pas juste:

Cette réforme creusera les écarts des richesses,  elle impactera plus durement les travailleuses et travailleurs qui sont les plus précaires et celles et ceux effectuant des tâches pénibles. 

Non cette réforme n'est pas féministe: elle creusera SURTOUT les inégalités de genre

De manière globale, cette réforme nous poussera toutes et tous à travailler plus longtemps pour gagner moins à la fin. Nous luttons contre ce projet de société anti-social qui impactera.

Nous, grévistes du collectif, sommes entré.e.s dans la lutte depuis janvier 2023 et nous comptons reconduire la grève jusqu’à l’obtention du retrait de ce projet de réforme. Pour cela, nous sollicitons toute l’aide et tout le soutien financier que vous pourrez apporter.


A quoi servira l'argent collecté

L’argent recueilli dans cette caisse de grève sera reversé en priorité aux personnes qui, parmi nous, touchent les plus bas salaires ainsi qu’à celles et à ceux qui auront cumulé le plus grand nombre de jours de grève.

Notre équipe

Collectif interprofessionnel du Val d'Oise Est 


1 595 €
collectés
Terminé



Caisse de Solidarité pour les grévistes

Notre premier moyen de gagner, c’est la lutte, c’est préparer la grève reconductible, se mettre en grève ! Pour autant, des camarades ne peuvent faire grève, parce qu’ayant le statut d’indépendant·e·s, retraité·e·s, sans emplois... Pour celles et ceux dans ce cas et qui veulent et peuvent soutenir la lutte par cet autre moyen, l'Union syndicale Solidaires 73 met en place une caisse de solidarité pour soutenir financièrement les grévistes mobilisé·es pour gagner face à un projet de loi sur les retraites injuste, injustifié et injustifiable !

 

Cette caisse de solidarité est un outil fondamental pour renforcer notre capacité à nous mobiliser par la grève en atténuant partiellement son coût, afin de favoriser, en particulier, la participation des travailleuses et travailleurs qui ont les niveaux de vie les moins élevés (salaires faibles, emplois précaires, familles monoparentales...).

On ne négocie pas les régressions sociales, on doit les combattre, soutenons les grévistes pour le retrait du projet de loi sur les retraites !!!

 






3 199 €
collectés
Terminé

Caisse de grève pour le personnel du lycée Victor et Hélène BASCH.

Reversé en priorité :

- à ceux qui ne bénéficient pas d'une autre caisse de grève (ex: syndiqués) et ensuite à ceux qui ont les statuts et les revenus les plus précaires (AED, AESH, agents, professeurs non titulaires, ...)

Mais évidemment, si on la remplit suffisamment l'idée et de dédommager TOUS les grévistes et donc de permettre à chacun-e de partir sur une grève reconductible. 

90 €
collectés
Terminé

Caisse de grève et de solidarité organisée par Intersyndicale du Cnam

Chères et chers collègues, 

Nous lançons une caisse de grève destinée à soutenir les personnels grévistes du Cnam mobilisés contre la réforme des retraites. 

La Première Ministre a annoncé le 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation. Cette réforme va frapper de plein fouet l’ensemble des travailleurs et travailleuses, et plus particulièrement celles et ceux qui ont commencé à travailler tôt, les plus précaires, dont l’espérance de vie est inférieure au reste de la population, et celles et ceux dont la pénibilité des métiers n’est pas reconnue. Cette réforme va aggraver la précarité de celles et ceux n’étant déjà plus en emploi avant leur retraite, et renforcer les inégalités femmes-hommes.

Le système de retraites par répartition n’est pas en danger, rien ne justifie une réforme aussi brutale. Il est nécessaire de poursuivre et amplifier le mouvement social.

Cette caisse est destinée à compenser au moins partiellement les pertes de salaire des personnels grévistes, qu'ils et elles soient syndiqué.es ou non syndiqué.es. Elle est gérée par des représentant.es des organisations syndicales.

En vous remerciant par avance pour votre solidarité.

L’intersyndicale du Cnam

2 908,50 €
collectés
Terminé

Caisse de grève du Lycée Jean Perrin contre la Réforme des retraites !


Face à l’offensive du gouvernement à travers sa réforme des retraites, le Lycée Jean Perrin veut inscrire sa lutte dans la durée !

Nous continuerons à reconduire cette grève pour maintenir un rapport de force dans la durée contre l'augmentation de l'age de départ à la retraite.

 

Pour nous aider dans cet objectif, vous pouvez contribuer à notre caisse de grève.

 

Cette caisse de grève permettra de soutenir en priorité les grévistes en grève reconductible faisant partie des bas salaires de notre établissement (AED, AESH, Agents…) ainsi que les collègues grévistes qui en auraient besoin.

Merci d'avance pour votre soutien !

70 €
collectés
Terminé

Cette caisse de grève est organisée par le FSU-SNUipp45, au bénéfice des personnels AESH et enseignant·es grévistes du Loiret dans le cadre de la mobilisation actuelle contre la réforme des retraites.

Les fonds récoltés seront reversés à tout personnel gréviste enseignant ou AESH en faisant la demande, dans le respect de la charte ci-dessous.

 

CHARTE DE LA CAISSE DE GRÈVE

1.           Commission de suivi et de contrôle de la caisse de grève

Afin de garantir une totale transparence dans la gestion des dons et leur redistribution, est constituée une Commission de suivi et de contrôle.

➢ Son but est de comptabiliser les dons faits à la caisse de grève, procéder à la répartition et s’assurer du versement aux personnes en ayant fait la demande.

➢ Lorsque la date de redistribution sera décidée, la Commission aura pour mission de la faire connaître de tous·tes les grévistes. Elle devra alors centraliser, pour tous·tes les grévistes en faisant la demande, les pièces justificatives demandées (bulletins de salaire indiquant les jours de grève, RIB).

➢ Elle validera et clôturera les comptages du nombre total de jours de grève, du nombre total de demandes, et du montant total des dons. Elle définira et validera ainsi le montant à remettre aux grévistes bénéficiaires.

➢ Elle s’assurera de la conformité des versements. La Commission de suivi et de contrôle tiendra le conseil syndical de la FSU-SNUipp45 au courant de l’ensemble de ses travaux et les soumettra à l’approbation de ce dernier.

 

2.          Proposition d’affectation de la caisse de grève

➢ Tous·tes les grévistes ayant participé à partir de deux jours de grève peuvent faire une demande de compensation de leurs jours de grève. Un ordre de priorité sera établi pour la redistribution de la caisse :

* en premier lieu, les AESH ;

* en deuxième lieu, les collègues syndiqué·e·s en ayant fait la demande ;

* en dernier lieu, l’ensemble des collègues non syndiqué·e·s en ayant fait la demande.

➢ La répartition sera décidée par la Commission de suivi et de contrôle en fonction du nombre de compensations demandées, des priorités et du montant total des dons. 

➢ En cas d’excédent, la redistribution de la caisse vers une autre caisse pourra être votée en conseil syndical de la FSU-SNUipp45.

1 624,70 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Soutenir financièrement l'effort de grève. Toute contribution, même modeste, est importante.

A quoi servira l'argent collecté

Redistribution à la fin de la campagne de l'argent collecté auprès des collègues grévistes qui en feront la demande (en écrivant par mail à l'adresse elusprofs@lyceeperier.org , en précisant le nombre de jours de grèves effectués).

Notre équipe

La caisse de grève est créée et gérée par les sections syndicales SNES et SUD du Lycée Périer.

Pour les projets

Le communiqué de l'intersyndicale appelant à la grève contre la réforme des retraites : https://www.snes.edu/agissons/campagnes/toutes-et-tous-en-greve-le-7-mars-et-pret%c2%b7espour-la-suite/

600 €
collectés
Terminé

Une caisse de grève pour le retrait de la réforme des retraites :

Réunis en assemblée générale avec leurs syndicats CGT, SNFOLC, SNES, SNEP, les personnels du collège Marie Curie des Lilas se prononcent pour le retrait total de cette réforme des retraites que rien ne justifie.

Les personnels du collège Marie Curie des Lilas se sont déjà fortement mobilisé⋅es aux mois de Janvier et Février et ils et elles se prononcent très majoritairement pour la grève dès ce mardi 7 mars 2023 et réfléchissent à sa reconduction.

C'est pourquoi le comité de grève des personnels réunis en assemblée générale a décidé de mettre en place une caisse de solidarité pour que le mouvement de grève à partir du 7 mars soit le plus conséquent et pèse le moins possible sur les salaires, notamment les plus faibles.

La page Facebook pour suivre notre mobilisation et nous contacter : Mobilisations collège Marie Curie Les Lilas

 

945 €
collectés
Terminé

Depuis le début de la mobilisation contre la réforme des retraites, des personnels de la Cité Scolaire Maréchal Lannes à Lectoure (Gers) sont en lutte. Nous sommes agents, AED, AESH, enseignants et nos actions sont diverses : journées de grève et de manifestations, tractages des ronds points, assemblées générale, vente de gateaux sur les marchés pour alimenter la caisse de grève...

Afin de soutenir et poursuivre nos actions nous mettons en place cette caisse de grève pour aider les collègues dont les revenus sont les plus précaires c'est à dire les AESH, AED et agents. 

Afin que le mouvement puisse continuer et s'intensifier nous faisons appel à votre solidarité.

 

1 130 €
collectés
Terminé

Vie Scolaire en Colère est un collectif composé d’assistant.es d’éducation mobilisé.es pour l’amélioration de leurs conditions de travail.

Créé en 2019, le collectif reprend aujourd’hui du service pour se mobiliser contre la réforme des retraites de Macron. Cette réforme est injuste, précarisante, sexiste et concerne grandement les AED. En effet, ces dernier.es ont plus souvent des parcours professionnels « hachés » et seront donc particulièrement touchés par l’augmentation du nombre d’annuités nécessaires pour partir à la retraite avant 67 ans. La plupart des AED’s exercent à temps incomplet et ne cotisent donc pas pleinement pour leur retraite et pourraient donc voir celle-ci réduite.

Pour toutes ces raisons nous serons en grève et dans la rue, tant qu’il le faudra.

L’argent récolté sera redistribué aux AED qui en font la demande, en fonction du degré de précarité, en proportion de l’argent récolté, et en privilégient les grévistes n’ayant pas de caisse de grève locale dans leur établissement.

Nous remercions celles et ceux qui peuvent nous soutenir financièrement dans notre grève. Et que vive la lutte ! 

 

2 471,50 €
collectés
Terminé

Cette cagnotte a été mise en place dans le contexte du meeting-spectacle du 08/03/2023 à l'espace Reuilly. Ce meeting-spectacle a été organisé pour lutter contre les fermetures de postes, de classes et d’établissements et contre la réforme des retraites. 

Elle permettra à celles et ceux n'ayant pas pu se rendre au meeting ou bien n'ayant pas d'espèces de participer au chapeau si iels le souhaitent, et ainsi d'alimenter les caisses de grève des établissements en lutte.

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Meeting/spectacle contre les fermetures de postes, de classes et d’établissements et contre la réforme des retraites

Le spectacle sera assuré par les élèves des classes horaires aménagées double cursus, également menacées par la fermeture du lycée Brassens.

Ce meeting spectacle contre toutes les fermetures de postes, de classes, d’établissements (particulièrement des lycées professionnels) a lieu mercredi 8 mars à 19h, Espace Reuilly, 21 rue Hénard, 75012 Paris (voir communiqué ci-dessous). Il informera aussi des attaques contre les doubles cursus illustrées par l’annonce de la fermeture du lycée Brassens.

Ce meeting en solidarité avec les grévistes contre la réforme des retraites (un chapeau circulera pour alimenter les caisses de grève) se terminera par une information sur les attaques contre les femmes et les professions féminisées contenues dans cette contre-réforme et un point sur la mobilisation au Sénat, sur nos lieux de travail et dans la rue.

Il est organisé par le Collectif d’animation de parents et d’enseignants soutenu par l’intersyndicale et la FCPE.

Trois temps de prise de parole en alternance avec des moments de spectacle :

+ Contre la saignée subie par l’école publique dans l’académie de Paris (contre les fermetures de postes, de classes et d’établissement - avec un rappel du combat contre les attaques subies par lycées professionnels. 
+ Pour la défense des classes horaires aménagés publiques et contre la fermeture de du lycée Brassens 
+ Le point sur la bataille des retraites avec un gros plan sur les attaques contre les femmes, la situation de la bataille au Sénat, le point sur les mobilisations dans l’Education nationale et ailleurs

Terminé

CONTRE LA REFORME DES RETRAITES DU GOUVERNEMENT, SOUTENEZ LA GREVE DES PERSONNELS DE RADIO FRANCE !

La CGT Radio France salue la mobilisation des millions de salarié-es, qui, depuis le 19 janvier, expriment leur opposition à cette réforme des retraites et sont déterminé-e-s à empêcher le recul de l’âge légal à 64 ans et l’allongement du nombre de trimestres, ce qui aurait pour effet de faire aussi baisser plus rapidement leurs pensions. Malgré cela, la surdité du gouvernement et du président de la République dégradent la cohésion sociale du pays en refusant toujours de retirer ce projet injuste. Les salarié-es de Radio France conscient-e-s de l’impact de cette réforme sur leur retraite se sont fortement mobilisés depuis le début du mouvement. La CGT soutient et comprend leur colère et les engage à continuer de se mobiliser massivement par la grève et la manifestation !

NON à cette réforme qui durcit le dispositif carrière longue pour les personnes ayant travaillé avant 18 ans et 20 ans ! Aujourd’hui c’est plus d’un salarié sur 5 qui part à la retraite au titre de ce dispositif, et demain ? À Radio France, ce sont bien souvent les salarié-es femmes et hommes cumulant les différents facteurs de pénibilité (horaires décalés, port de charges lourdes, troubles musculo-squelettiques, etc.) qui sont impactés par ce recul social.

NON à cette réforme qui pénalise particulièrement les femmes. Des femmes qui ont des carrières hachées donc sous évaluées financièrement. Le bénéfice des trimestres validés au titre de la maternité et de l’éducation des enfants, mécanisme de compensation des inégalités vécues durant la vie professionnelle des femmes, est sournoisement remis en cause par cette réforme ! À Radio France, le processus de rupture conventionnelle collective mis en oeuvre par la direction entre 2020 et 2022, et que la CGT n’a pas signé, a comme nous le craignions permis de constater qu’à ancienneté et métier équivalent, le salarié homme pouvait bénéficier de ce dispositif a contrario de la salariée femme !!!

NON à cette réforme qui ne répond en rien à la problématique de l’emploi des séniors ! Les salarié-es ne sont pas dupes de l’hypocrisie d’une réforme qui veut les obliger à travailler plus longtemps alors que les entreprises "poussent les vieux dehors". Avec un peu moins de la moitié des plus de 60 ans écartée du marché du travail avant la retraite, repousser l’âge de départ, c’est augmenter le nombre de séniors en invalidité, en longue maladie, au chômage et en précarité. Les salariés de Radio France le savent, il s’agit de l’âgisme qui sévit dans certains services de l’entreprise ! Et que dire de la RCC qui ciblait particulièrement les salariés en âge de partir à la retraite !

NON à cette réforme qui appauvrira les retraités. Si elle était appliquée, elle entraînerait la baisse des pensions. Le Conseil d’Orientation des Retraites estime que le pouvoir d’achat des retraités pourrait à terme baisser de 20 % par rapport à celui des actifs. À Radio France, les salarié-es embauché-es depuis 2017 sont déjà lourdement pénalisé-es par la suppression de l’IRCANTEC entraînant une économie de cotisations pour l’entreprise mais surtout une perte de 40 % sur le montant de leur pension ! Comble du cynisme, que propose la direction aux organisations syndicales 6 ans après ? Une individualisation de la retraite par une négociation d’un plan d’épargne retraite d’entreprise !

Contre cette réforme, la CGT a déposé un préavis de grève illimité.

7 130 €
collectés
Terminé

Bonjour à toutes et à tous,

Nous sommes les assistants d'éducation (AED), membres de l'équipe de vie scolaire du collège de Monségur en Gironde. Depuis le 19 janvier, nous sommes déterminés et mobilisés par la grève et dans la rue aux côtés de tout.e.s les salarié.e.s, afin de lutter contre les réformes libérales de Macron et de son gouvernement. Aussi nous souhaitons obtenir des avancées sociales et salariales significatives pour notre métier comme pour l’ensemble des salariés.

Nos conditions de travail étant très précaires pour la plupart à temps partiel, nous avons besoin de vous pour soutenir notre engagement dans ce mouvement social aux côtés de l'ensemble des salariés, pour que notre participation perdure et se durcisse jusqu'à satisfaction de nos revendications !

Un grand merci fraternel à vous pour votre soutien.

L'équipe vie scolaire du collège de Monségur

500 €
collectés
Terminé

Pour aider les enseignant.e.s, les AED/AP, les AESH, les agent.e.s mobilisé.e.s contre la réforme des retraites ! 

380 €
collectés
Terminé

Assemblée Générale des Travailleuses du Sexe de Gerland 
en grève et en manifestation! pour les retraites, contre le harcèlement, pour la dignité!


Pour payer les journées de grève, et que les concernées puissent, enfin, se déplacer en manifestation !
Toutes ensemble, on est là!
Femmes de pays pauvres, femmes déterminées, femmes organisées, elles ont besoin d'une caisse de grève!


Depuis plusieurs mois, les abords du stade de Gerland à Lyon sont le lieu d'un énième débat sur la légitimité des travailleuses du sexe d'être présentes dans l'espace public.


Ce quartier a attiré de nombreux journalistes, riverains, et autres pour valider leur représentation de la situation, les prenant en photo, sans demander le consentement ou leur donner la parole.
Objet de discours, on leur a refusé le droit d'en être les sujettes. 


Elles se sont organisées en Assemblée Générale, et voici leur Communiqué : https://rebellyon.info/Plus-de-40-femmes-travaillant-a-Gerland-24603

 

4 257 €
collectés
341 jours
restants

Depuis le 19 janvier 2023, de nombreux salarié·es de Saint-Denis (enseignant·es, professionnel·les de la petite enfance, agent·es territoriaux, des services sociaux, musées, bibliothèques, conservatoire, commerçant·es, professionnel·les de santé, des transports…) sont en grève contre la réforme des retraites inutile, injuste et brutale que cherche à imposer le gouvernement contre l'avis quasi unanime de la population.

La caisse de grève bénéficie aux travailleur·euses exerçant et/ou vivant à Saint-Denis.
Elle est gérée par l'Assemblée générale interprofessionnelle de la ville de Saint-Denis.  

Nous avons décidé de lancer une caisse de grève pour permettre à notre mobilisation de durer et de s’amplifier en faisant vivre la solidarité, afin d’obtenir le retrait de cette réforme.    

Seule une grève reconductible et multisectorielle permettra de gagner. Pour cela il est nécessaire de soutenir les travailleurs·euses en lutte.  

Nos revendications :   

- le retrait du projet de loi imposant la retraite à 64 ans et le retour à 60 ans à taux plein  
- revalorisation salariale pour toustes
- pas de pension inférieure au smic   
- maintien des régimes spéciaux de retraites
- l'égalité des retraites entre les femmes et les hommes  
- faire payer le capital  

    

Pour tout comprendre sur la réforme des retraites, nous vous conseillons cette interview réalisée par Mediapart de l’économiste Michaël Zemmour qui décrypte la réforme et déconstruit les arguments fallacieux du gouvernement https://www.mediapart.fr/journal/politique/151222/apres-les-fetes-la-retraite-65-ans 

 

 

 

18 827,70 €
collectés
Terminé

La Première Ministre a annoncé ce 10 janvier 2023 le report de l’âge légal de départ à la retraite à 64 ans avec une accélération de l’augmentation de la durée de cotisation.

La première caisse de grève a permis de financer 73 jours de grève des travailleurs et travailleuses de l'ENS, cumulés sur une trentaine d'agents : c'est un succès ! 

Le gouvernement a franchi un nouveau cap dans l'autoritarisme avec le 49.3, nous avons donc plus que jamais besoin de poursuivre la lutte ! 

Pour que les salarié.es puissent poursuivre la grève, une seule solution : disposer d'une solide caisse de grève dans chaque lieu de travail pour soutenir les grévistes. C'est le cas à l'ENS où beaucoup de salarié.es ne peuvent pas se permettre de perdre des jours entiers de salaire. Soutenir la grève, c'est participer à la caisse de solidarité selon nos possibilités.

On lâche rien !

Les modalités de redistribution de la caisse de grève seront discutées et décidées lors des AGs du comité de mobilisation !

Si vous voulez rejoindre le comité de mobilisation

Insta : @ens_ulm_en_lutte

Twitter : ens_ulm_lutte

3 088,30 €
collectés
Terminé

Caisse de grève La Martinière Diderot

L'objet de cette caisse de grève est de permettre à des collègues, essentiellement les AED, de se mettre à nouveau en grève comme ils l'ont déjà fait.



970 €
collectés
Terminé

Caisse de grève permettant à ceux qui le désirent de soutenir les plus fragiles et les plus précaires d'entre nous, personnels du lycée Paul Langevin à MARTIGUES.

Ces personnels ne peuvent pas perdre de salaire sur ces actions, étant déjà peu payés, mais veulent rejoindre la contestation.

Seul un geste de solidarité de l'ensemble de la communauté éducative leur permettra de participer, aussi nous vous invitons à les aider à la hauteur de vos moyens.

De même, être gréviste est compliqué pour certains, mais un petit don peut vous donner l'opportunité de les soutenir.

Les donations seront distribuées de manière équitable à l'issue de cette période troublée, en toute transparence.

 

855 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Dans le cadre du mouvement social actuel nos militant.e.s ont besoin d'une aide solidaire

A quoi servira l'argent collecté

A alimenter notre caisse de grève. 

Notre équipe

Marie notre trésorière et Jean-Luc mandaté médias. 

Pour les projets

Vous pouvez nous retrouver sur les réseaux sociaux sous le sigle CNT Savoie ou CNT 73. 

60 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Nous sommes mobilisés au collège Jean Moulin de Montreuil (93) pour lutter contre la réforme des retraites.

A quoi servira l'argent collecté

L'argent récolté servira en priorité à permettre aux personnels suivants de se mettre en grève sur les prochaines journées de mobilisation :

- AED ("surveillants")

- AESH (qui aident les enfants en situation de handicap)

- agents départmentaux (entretien, restauration...)

578 €
collectés
Terminé

Présentation de ce projet : Soutenir la mobilisation des salariées de la crèche dans le cadre de la lutte contre la réforme des retraites.

A quoi servira l'argent collecté : Compenser une partie de la perte de salaire occasionnée par la mise en grève.

L'équipe : Luisa (mère de Claudio), Marie (mère de Silvia), Eve (salariée) se portent garantes de la distribution des fonds récoltés et peuvent être rejointes par toutes les personnes, membres de la crèche parentale ou salariées, qui le souhaitent.

Anonymat : L'identité des personnes qui contribuent à cette caisse n'a pas vocation à être diffusée ; nous ne souhaitons pas qu'il soit possible d'établir qui y a participé et qui n'y a pas participé. Nous vous invitons donc à inscrire "anonyme" ou à choisir un nom imaginaire quand Papayoux-Solidarité vous demande un nom de participant à afficher.

445 €
collectés
Terminé

Cette caisse de grève est un dispositif de solidarité financière qui permet de récolter et de rassembler des fonds à destination de travailleur-ses grévistes dans les Bouches-du-Rhône. L'objectif est de nous donner les moyens de tenir, reconduire et généraliser la grève. Elle est particulièrement indispensable aux catégories de personnels les plus précaires et dont les salaires sont les plus bas.

Le rapport de force ne nous a jamais été aussi favorable depuis le début de la mobilisation ! Mais pour gagner il faut poursuivre, durcir, amplifier et reconduire la grève. Le gouvernement est faible, portons lui le coup de grâce !

115 €
collectés
Terminé

Cette caisse de grève est mise en place par l’assemblée générale des personnels de l’IMFT. Elle vise à compenser partiellement la perte de salaire des grévistes du laboratoire en lien avec la mobilisation en cours, quel que soit leur statut et leur employeur, y compris le personnel de ménage. La compensation visée est de 50 euros par jour de grève et par personne, quel que soit le salaire mensuel.

Les personnels mobilisé·e·s en AG ont décidé des principes de fonctionnement suivants :

1. Sa gestion est confiée à des personnels volontaires (C. Calbrix, C. Nicolas, S. Lorthois), qui devront rendre compte devant l’assemblée générale des personnels.

2. Les dons collectés serviront à soutenir financièrement les grévistes du laboratoire.

3. Si vous souhaitez demander un soutien financier, contactez les volontaires et envoyez-leur par mail (corentin.calbrix@imft.fr, charles.nicolas@imft.fr, sylvie.lorthois@imft.fr) une déclaration sur l’honneur avec votre statut, le nombre de jours de grèves déduits de votre salaire, ainsi qu’un RIB, avant le 10 du mois suivant le retrait constaté sur votre bulletin de salaire. Afin d’éviter les messages perdus et faciliter l’inventaire des demandes, le sujet du mail devra inclure les caractères suivants [CGIMFT:demande_soutien] (y compris les crochets).

Si le montant disponible sur la cagnotte permet de verser une compensation de 50 euros par jour de grève et par personne, alors le montant correspondant sera versé sous une dizaine de jours. Sinon, une assemblée générale sera convoquée pour décider :

            - soit de réduire le montant de la compensation,

            - soit de prioriser les personnels précaires et/ou à faible revenu.

4. S’il reste un solde positif à la fin de la mobilisation en cours, le montant correspondant sera réparti entre des caisses de grève extérieures. Une faible proportion pourra aussi être utilisée spour des actions de solidarité dans le laboratoire, en lien avec la mobilisation en cours. Une assemblée générale sera convoquée pour en décider. 

Les membres du comité de gestion.

Corentin Calbrix, Charles Nicolas, Sylvie Lorthois

2 191,90 €
collectés
Terminé

Nous, salarié·e·s du Planning Familial de la Gironde, sommes en grève reconductible depuis le 7 mars contre cette réforme des retraites injuste et inutile. Nous entamons notre quatrième semaine de grève, et nous avons besoin de vous pour tenir.

La mobilisation contre cette réforme des retraites est essentielle. D’ailleurs, personne ne s’y trompe. Plus de 64% des personnes se déclarent contre cette réforme, et ce pourcentage monte à 93% des chez les actif.ves. Enfin, 72% des personnes se déclarent en faveur d’une mobilisation contre la réforme des retraites, qui aurait pour conséquence directe le recul du départ légal à la retraite à 64 ans.

Pour nous, prendre une part active à ce mouvement social est une évidence. Nous travaillons par choix au Planning Familial, une association portant des valeurs fortes, qui défend la solidarité et qui lutte tous les jours contre les inégalités et les discriminations.

Notre engagement professionnel quotidien auprès de nos publics souvent minorisés, précarisés, fragilisés nous enjoint à nous élever contre une réforme dont ielles seront les premières victimes. Les femmes, les personnes LGBTQI+, les personnes exclues seront les premières touchées par cette réforme qui sanctionnera lourdement les carrières professionnelles hachées, le souhait de parentalité, la précarité, la maladie, l’exclusion du marché du travail, réalités que nous rencontrons tous les jours dans nos missions. Toutes les réformes qui consistent à allonger les durées de travail défavorisent mécaniquement celleux dont les carrières sont entravées, en particulier les femmes, plus nombreuses à avoir des carrières incomplètes : 40 % partent à la retraite avec une pension incomplète.

Nous aussi nous sommes concerné.es ! Professionnel.les du secteur sanitaire, social et médico-social dans le monde associatif, où règnent la précarité et la dévalorisation de nos métiers, nous serons grandement défavorisé.es par cette réforme. Pourrons-nous continuer nos missions salariées jusqu’à 64 ans, ou plus ? Aurons-nous encore la force de continuer ? 

Déjà aujourd’hui beaucoup d’entre nous quittent ces emplois éprouvants bien plus tôt, pour la retraite anticipée avec des pensions dérisoires, la galère sur un marché du travail qui rejette les séniors, ou les minima sociaux. Comment pourrons-nous le supporter encore au moins 2 ans de plus ?


Le secteur associatif représente 1,8 millions de salarié.e.s en France aujourd’hui. Il est un secteur économique et social essentiel. Comment ferons-nous sans le bénévolat de toustes ces jeunes retraité.es qui font vivre nos structures ? Nos associations ne perdurent que grâce à l’engagement sans faille de milliers de retraité.e.s bénévoles qui constituent nos conseils d’administration, qui cherchent des financements, qui construisent des partenariats, qui agissent sur le terrain avec nous tous les jours. Nos structures et nos emplois sont menacé.es par cette réforme, nous devons agir.

Au-delà des conséquences sur l’avenir de chacun.e, il s’agit ici de décider dans quel type de société nous voulons vivre. Nous défendons notre dignité, comme citoyen.nes et comme travailleur.euses !

Contre cette réforme des retraites, nous voulons prendre nos affaires en main et élargir notre pouvoir d’agir dans la société. Nous mobiliser par la manifestation permet de visibiliser nos actions, et par la grève de participer au blocage de l’économie, seul outil qui nous permettra d’imposer le retrait de cette réforme. Si on s’arrête, le monde s’arrête ! La grève est essentielle. 

5 934 €
collectés
464 jours
restants

Soutenez les personnels d'éducation des Bouches-du-Rhône


Cette caisse de grève est un dispositif de solidarité financière qui permet de récolter et de rassembler des fonds à destination des personnels grévistes de l'éducation dans les Bouches-du-Rhône. L'objectif est de nous donner les moyens de tenir, reconduire et généraliser la grève. Elle est particulièrement indispensable aux catégories de personnels les plus précaires et dont les salaires sont les plus bas.

Le rapport de force ne nous a jamais été aussi favorable depuis le début de la mobilisation ! Mais pour gagner il faut poursuivre, durcir, amplifier et reconduire la grève. Le gouvernement est faible, portons lui le coup de grâce !

Pour en savoir plus sur le fonctionnement de cette caisse de grève et sur la redistribution de l'argent récolté, rendez-vous sur notre site :

Caisse de grève - Soutenez les grévistes de l'éducation - SUD éducation Bouches-du-Rhône (sudeducation13.org)

 

1 100 €
collectés
Terminé

Soutien aux personnels d'éducation du lycée Jacques Prévert à Boulogne-Billancourt 

Cette caisse de grève est un dispositif de solidarité financière  à destination des personnels  de l'éducation en grève au lycée Jacques Prévert. Les personnels sont en grève depuis le 19 janvier 2023 contra la réforme des retraites et l'objectif est de soutenir la mobilisation toujours en cours. 

 

200 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Caisse de grève pour soutenir les grévistes du lycée Lucie Aubrac de Courbevoie.

A quoi servira l'argent collecté

L'argent récolté servira en priorité à permettre aux personnels de se mettre en grève pour les mobilisations et les luttes.

880 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Cette cagnotte est mise en place pour venir en aide aux collègues grévistes ayant cumulé plusieurs jours de grève contre la réforme des retraites depuis le 19/01/2023.

A quoi servira l'argent collecté

La collecte sera répartie entre les collègues grévistes en fonction des niveaux de rémunération de chacun/chacune.

Notre équipe

Le secrétariat de la section Solidaires Finances Publiques 28

Pour les projets

https://solidaires.org/

https://solidairesfinancespubliques.org/vie-des-agents/carriere/retraite.html

 

205 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Caisse de grève pour les personnels grévistes du lycée Jean Vilar, en particulier les plus précaires : assistants d'éducation, stagiaires, agents techniques. 

A quoi servira l'argent collecté

Compenser les pertes financière des journées de grève 

Notre équipe

L'ensemble des personnels du lycée Jean Vilar 

Pour les projets


415 €
collectés
Terminé

Double débrayage dans la sous-traitance hôtelière à Marseille pour le pont du 14 juillet !


Les femmes de chambre des hôtels Mariott Vélodrome et Novotel Prado, sous traitées par les sociétés de nettoyage jumelles ACQUA et PRIMIUM, partent à l’assaut de la Bastille salariale avec leur syndicat CNT-SO, pour ce week-end du 14 juillet, avec un mouvement de grève simultané et reconductible à partir du jeudi 13 juillet. 


Pour les ouvrier-ères, la pénibilité et pour les patrons, le bénéfice ! A Marseille, l’industrie touristique est en plein boom et engrange les profits. La période estivale est l’occasion d’une très forte fréquentation avec une hausse de la charge de travail pour les travailleur-euses (cadences, heures sup’, manutentions…) sans aucune compensation.  Dans un contexte d’inflation galopante et de vie chère depuis des mois, de la réforme antisociale sur les retraites, la coupe est pleine !

Déjà mobilisées depuis janvier pour les retraites, les équipes syndicales de la CNT-SO avaient déposé des revendications auprès des sous-traitants. Elles passent à l’action faute de réponse satisfaisante pour revendiquer : 

- prime de saison
- prime d'inflation
- taux horaire minimum applicable à l'ensemble des sites (AQS2)
- augmentation de la prime de panier à 7€
- prime de tenue de 10€ pour tous-tes (versée déjà sur l'AC Marriott)
- pas de décompte des jours fériés pour les congés (comme appliqué précédemment)
- respect des jours de repos sans appels
- versement de la paie le 6 du mois

Les groupes hôteliers ne doivent pas se cacher derrière leurs sous-traitants : les femmes de chambres et équipiers sont indispensables au fonctionnement des hôtels, c’est à eux d’assumer ! Ils exploitent notre travail : grève par grève nous leur reprendrons notre dû !

 

180 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

Depuis Lundi 28 août, une dizaine de travailleurs occupent le centre de tri du quinzième arrondissement de  Paris pou dénoncer des conditions de travail indignes chez NTI !

Sans papiers, pour certains même sans contrat de travail, entreprise sous-traitante des groupes Veolia, Paprec, Urbaser ou Suez, chargés de ce service par les collectivités locales, ils ont décidé de dénoncer au grand jour leurs conditions de travail, proches de l'expolitation, avec l'espoir d'obtenir une régularisation.

A quoi servira l'argent collecté

Soutien à ces Huits hommes et trois femmes mobilsés depuis le lundi 28 août, qui n'ont pas perçu de salaires depuis 4 mois

Notre équipe

Je présente les membres de l'équipe, éventuellement les rôles de chacun.

Pour les projets

je précise les liens (sites web, réseaux sociaux...) permettant de crédibiliser le projet.

1 284 €
collectés
Terminé

Lors du mouvement social contre la réforme des retraites, des personnels du lycée Eugène Delacroix ont décidé de créer une caisse de grève afin de permettre à tous les personnels de participer au mouvement social. 17 personnes ont ainsi bénéficié de la solidarité collective au printemps 2023.

Cette cagnotte en ligne nous permet de nous organiser à l'avance afin de rassembler des fonds qui nous permettront d'entrer en lutte plus sereinement quand ce sera nécessaire. L'usage des fonds récoltés sera discuté et voté en assemblée générale au lycée, comme nous l'avons fait jusqu'à présent.

N’hésitez pas à contribuer à la caisse de grève et à la diffuser à vos cercles amicaux et familiaux.

Caisse de grève : faisons vivre la solidarité pour gagner ! 

831 €
collectés
495 jours
restants

Cette caisse de grève est destinée à soutenir la vie scolaire en grève du lycée Utrillo. Elle dénonce la baisse de moyens que subit notre établissement et l'interdiction de l'abaya et du qamis. 


Notre communiqué  :

Nous n'acceptons pas de voiler le manque de moyens, pas de rentrée au lycée Utrillo !

Pour cette rentrée, notre établissement, pourtant inscrit en politique de la ville, perd :

60h de cours,
un poste de conseiller principal d'éducation,
le demi-poste de technicien·ne de laboratoire n'est toujours pas pourvu,
tout comme celui d’infirmier·e,
et les élèves en filière professionnelle seront 30 par classe au lieu de 24.

 


La réalité de cette rentrée nous la partageons bien sûr avec de nombreux autres lycées. La promesse du gouvernement de garantir le bon fonctionnement des établissements scolaires et la présence d'un enseignant·e·s par classe n'est rien de plus qu'un mensonge d’État. Dans nos établissements, le gouvernement coupe les fonds nécessaires à la réussite des élèves et compense ce manque d’investissement par des débats stigmatisants.

 

 

Une double violence pour nos élèves.

 


Rappelons que le système scolaire français est l’un des plus inégalitaires de l’OCDE : dans notre pays les inégalités économiques et sociales exercent la plus grande influence sur les réussites scolaires. À l'extérieur de l'école, les casses sociales successives paupérisent les quartiers. Au lieu d’œuvrer à la diminution de ces inégalités et au lendemain de la mort terrible du jeune Nahel – qui nous a aussi rappelé les violences quotidiennes que nos élèves peuvent vivre –, le gouvernement relance un nouveau débat autour de l'élargissement de la loi de 2004, visant l'interdiction de l'abaya et du qamis. Les politiques qui organisent le manque de moyens, de financement et de personnel s’accompagnent de politiques racistes qui portent un regard de suspicion sur nos élèves.

 

 

Nous souhaitons alerter sur la manière dont les principes de laïcité sont appliqués dans nos établissements et les excès qui peuvent en découler, notamment aujourd'hui. La nature cultuelle ou culturelle de l'abaya ne fait consensus ni pour les représentants politiques, ni les représentants du culte musulman. Ces débats incessants sont représentatifs du climat actuel dans toute la société française : les jeunesses populaires ne sont jamais écoutées, ni même accompagnées ; elles sont une fois encore suspectées (de « tester la République »). Nous souhaitons aussi rappeler que nous parlons ici d'adolescents et d'adolescentes et qu'on ne peut politiser toutes formes de remise en question du cadre scolaire de leur part.

 


Nous souhaitons enfin affirmer qu'accentuer la pression sur ces questions ne peut que dégrader les relations avec nos élèves, briser la confiance nécessaire entre les actrices et acteurs de l'éducation, les élèves et leurs familles, mais aussi et surtout nous éloigner fondamentalement de notre mission de service public : accueillir nos élèves, toutes et tous sans discrimination, assurer leur éducation et leur construction civique pour permettre leur émancipation. 

Nous refusons d'organiser la misère dans nos établissements : si nous n'avons pas les moyens d’accueillir nos élèves dignement, il n'y aura pas de rentrée !

4 337 €
collectés
Terminé

Les immigrés en grève arrêtent la machine à exploiter.


Contre les patrons qui nous exploitent avec leur armada de sous-traitants et de boîtes d'intérim, contre le piège raciste de la loi Darmanin, les travailleurs immigrés avec ou sans papiers disent ça suffit !


Cette caisse de grève et de soutien de notre action nous permet de nous organiser, nous défendre et maintenir notre lutte pour nos droits au travail, à une vie digne et libre, pour la régularisation de tous et toutes.

 

Pas de papiers, pas de JO ! Papiers, liberté, dignité pour tous·tes !

 

Les collectifs de sans papiers : CSP75, CSP20, CSP Montreuil, les Gilets Noirs, Droits Devant! , marche des solidarités et le syndicat CNT-SO.

15 808,80 €
collectés
67 jours
restants

Cette caisse de grève, sert à soutenir financièrement les personnels en grève du Centre Pompidou depuis le 16 octobre 2023, dans le cadre de la fermeture pour travaux en 2025 du bâtiment.

Une pétition en ligne, est accessible ici : https://chng.it/V97jsS8BjL

Cette caisse de grève est pour tous : pour tous les métiers, que les agents soient syndiqués ou non

Les seuls critères sont d'avoir fait grève et d'avoir subi une perte de salaire. Des justificatifs ( retenues sur salaire ...) permettront d'établir les modalités de redistribution.

La totalité des dons sera redistribuée selon des conditions qui seront présentées en Assemblée générale.

 

 

 

 

 

 

 

14 978 €
collectés
130 jours
restants

 

PAS DE RADIO, PAS D’HOSTO!

Ce mardi 2 janvier marque le début d’une nouvelle grève des manipulateurs.ices radio au CHU de Toulouse.
Face à une augmentation significative de l’activité accompagnée d’une diminution des effectifs sur la même période, la situation dans les services du pôle imagerie est aujourd’hui totalement délétère. Si tous les métiers du pôle connaissent des difficultés (cadres, secrétaires, IDE, AS), la situation des manipulateurs.ices radio, reconnu.e.s comme profession en tension par toutes les parties depuis des années, illustre le mépris exercé à l’encontre de tous.tes les hospitalier.e.s.

Les demandes des agent.e.s, les alertes et préconisations des représentants du personnels au CSE restant sans réponse, la direction du CHU de Toulouse doit prendre ses responsabilité quant à l’absence d’une réelle politique de fidélisation et d’attractivité ainsi que la mise en œuvre de mesures permettant une amélioration significative des conditions de travail et de rémunération.

Pour soutenir les grévistes, faites un don!

 

740 €
collectés
Terminé

Cette Caisse de grève est organisée pour soutenir les salariés Onclusive qui sont en lutte contre leur plan social lié à l'intelligence artificielle qui vise à les remplacer. Nous vous invitons à faire un don pour les aider à maintenir leur mouvement dans la durée.

L'argent collecté financera intégralement la caisse de grève des salarié-es d'Onclusive en lutte contre le plan de licenciement et permettra d'indemniser les salariés grévistes.

Les élus et délégué syndical Solidaires Informatique

Merci à tous pour votre soutien. N'hésitez pas à diffuser largement ce message

6 jours
restants

Présentation de mon projet
Les administrateurs·ices de l’association Place au Vélo Nantes commencent l’année en décidant un licenciement économique.

Une première dans l’histoire de Place au Vélo Nantes !

La raison : l’annonce, début octobre 2023, du risque de perdre 2 subventions.

Le poste de chargé·e de projet événementiel, existant depuis 20 ans, est menacé de disparaître.

Une des conséquences : des événements d’envergure, tels que la Fête du vélo, un des projets de référence pour le grand public et fédérateur pour les bénévoles, n’auraient plus lieu. 

Nous, salarié·e·s, sommes en grève depuis lundi 8 janvier pour contester cette décision de licenciement et pour assurer la pérennité de l'association ! 

L’association dispose de fonds propres. Il faut solliciter de nouveau les collectivités et aller chercher d’autres sources de financements. Pour cela, il faut y croire et défendre nos emplois !


A quoi servira l'argent collecté

L'objectif de la collecte est de soutenir financièrement les salarié·e·s en grève depuis lundi 8 janvier.

Notre équipe

Anna, Dominique, Laurent, Loïc, Pierre, Takala

2 avril 2024 : Quelques nouvelles de l'équipe salariée de Place au Vélo Nantes et un grand merci !

Cher.e.s soutiens,

Malgré deux semaines de grève en janvier des 6 salarié.e.s de Place au Vélo Nantes, nous n’avons hélas pas obtenu le maintien du poste de notre collègue Takala. 
Son licenciement économique a été notifié quelques jours après par nos employeurs.

Depuis lors, trois salarié.e.s sont en arrêt maladie, deux l’ont été et ont repris le travail depuis deux semaines, à temps partiel thérapeutique.

Si nous n’avons pas gagné, nous n’avons pas tout perdu. Après avoir subi longtemps une situation difficile au sein de l’association, nous sommes restés soudés et avons lutté, et votre soutien nous a donné beaucoup de force. Nous avons rendu visible auprès du public la maltraitance opérante à PAV. Nous avons retrouvé notre dignité. Notre lutte a ébranlé des certitudes parmi les membres du CA, beaucoup ne vont pas se représenter lors de la prochaine AG le 4 avril, et l’ex-présidente a démissionné de son poste d’administratrice.

En attendant de voir comment l’AG se déroule, quel virage va prendre l’association, nous tenons à vous remercier vivement pour vos messages d’encouragement, votre participation lors de nos trois mobilisations pendant la grève, et vos dons financiers qui nous ont permis de tenir.

L’équipe salariée de PAV

 

3 850,10 €
collectés
Terminé

Caisse de grève pour soutenir la grève des AED et AESH du collège Victor Schoelcher

Pour la défense de l'éducation prioritaire, c'est tou.te.s ensemble qu'il faut nous mobiliser dans la grève ! C'est évidemment plus difficile pour les AEd et AESH dont les salaires sont bien plus faibles que les titulaires. On a besoin de soutien financier pour que nos luttes rassemblent tous les corps de métier du collège.

AEd et AESH avons aussi nos propres luttes à mener :

  • Pour des primes REP complètes
  • Pour un vrai statut
  • Pour la défense de nos métiers et contre le projet d'ARE (Assistant.e.s de Réussite Educative)
  • Pour l'augmentation de nos salaires

Soutenez les AED et les AESH dans leurs grèves

Pour nous aider à obtenir nos droits entiers, alimentez la caisse de grève !

La caisse de grève est gérée collectivement par l'ensemble de l'intersyndicale du collège

Sur la base des services non faits, nous n'utiliserons cette caisse de grève que pour rembourser les jours de grève aux AED et AESH, à la hauteur du montant cotisé.

340 €
collectés
616 jours
restants

Caisse de grève pour soutenir les précaires AED (assistant-e-s d'éducation) et AESH (accompagnant-e-s d'élèves en situation de handicap) du Rhône

Contre les réformes rétrogrades dans l'éducation nationale, c'est tou.te.s ensemble qu'il faut nous mobiliser dans la grève ! C'est évidemment plus difficile pour les AEd et AESH dont les salaires sont bien plus faibles que les titulaires. On a besoin de soutien financier pour que nos luttes rassemblent tous les corps de métier du collège.

AEd et AESH avons aussi nos propres luttes à mener :

Pour des primes REP complètes
Pour un vrai statut
Pour la défense de nos métiers et contre le projet d'ARE (Assistant.e.s de Réussite Educative)
Pour l'augmentation de nos salaires

Il nous faut nous mobiliser par la grève si on veut imposer à l'administration d'appliquer nos droits et conquérir un vrai statut et un salaire décent à la hauteur de nos missions.

Soutenez les AED et les AESH dans leurs grèves

Pour nous aider à obtenir nos droits entiers, alimentez la caisse de grève !

La caisse de grève est gérée collectivement pas les militant-e-s à l'initiative de la coordination AESH / AED, syndiqué-e-s ou non.

Au-delà de cette caisse, nous poussons chaque AED ou AESH à se rapprocher des militant-e-s syndicaux de leurs établissements. Il existe également des collectifs locaux qui tiennent des caisses de grève, et, surtout, peuvent soutenir la mobilisation : des 3e/7e/8e/Vénissieux, de Vaulx en Velin, de Villeurbanne, du 9e…

Pour les syndiqués, joignez votre syndicat : une aide est prévue dans la majorité des syndicats.

Sur la base des services non faits, nous n'utiliserons cette caisse de grève que pour rembourser les jours de grève aux AED et AESH qui ne le sont pas déjà par d'autres caisses, d'établissement, locale ou syndicale à la hauteur du montant cotisé.

 

750 €
collectés
643 jours
restants

Présentation de mon projet

Caisse de soutien pour la grève des personnels du collège Gandhi à Fougères débutée le mardi 13 février 2024. L’équipe éducative a cessé le travail depuis mardi 13 février après-midi afin d’apporter son soutien à l’équipe de vie scolaire en situation de grande détresse ces dernières semaines.

Le succès de cette campagne permettra de montrer l’attachement des donateurs aux missions du service public d’éducation.


A quoi servira l'argent collecté

L’argent collecté servira en priorité à compenser la perte de salaire de l’équipe vie scolaire.

Notre équipe

Cette action est soutenue par une très large majorité des personnels : Aed, Aesh, Enseignants, Personnels du pôle médico-social, Personnel administratif, Agents et par les représentants des parents d’élèves.

Pour les projets


https://actu.fr/bretagne/fougeres_35115/fougeres-une-greve-au-college-gandhi-confronte-a-une-degradation-du-climat-scolaire_60701019.html

210 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet

J'indique l'origine, les enjeux et les raisons de cette campagne

A quoi servira l'argent collecté

J'indique les retombées de cette campagne

Notre équipe

Je présente les membres de l'équipe, éventuellement les rôles de chacun.

Pour les projets

je précise les liens (sites web, réseaux sociaux...) permettant de crédibiliser le projet.

0 €
collectés
Terminé

Présentation de mon projet
Caisse de grève pour les personnels du lycée Auguste Blanqui

A quoi servira l'argent collecté

Apporter un soutien matériel aux personnels en grève du lycée Auguste Blanqui


540 €
collectés
680 jours
restants

Présentation de mon projet

Afin que nous puissions obtenir un plan d’urgence pour l’Education dans le département de la Seine-Saint-Denis et le retrait de la réforme dit du « choc des savoirs », nous vous invitons à donner une participation financière à notre caisse de solidarité pour les grévistes.

A quoi servira l'argent collecté

Les dons s’adressent à tout personnel gréviste travaillant dans des établissements scolaires de Seine-Saint-Denis syndiqué·e·s ou non.

Cette caisse a pour vocation d’aider l’ensemble des personnels qui se sont mis en grève, et en particulier les personnels les plus précaires pour lesquels un jour de grève est une lourde charge (AESH - Accompagnant·e·s des Elèves en Situation de Handicap ; AED - Assistant·e·s d’Education ; Vacataires ; Personnels contractuels...)

Pour les projets

On demande 358 000 000€ au Ministère pour  :

  • 2000 enseignant·e·s pour les 859 écoles ;
  • 1000 enseignant·e·s pour les 130 collèges ;
  •  2200 enseignant·e·s pour les 68 lycées ;
  • 20 élèves par classe (19 est la moyenne européenne) ;
  • Remplacements immédiats ;
  • Des toutes petites sections dans toutes les maternelles ;
  • Pôle médico-social renforcé ;
  • 175 CPE ;
  • 650 AED ;
  • 320 AP ;
  • 2200 AESH.

Et nous demandons aussi un budget qui soit débloqué pour la rénovation / reconstruction des bâtis scolaires.

96 639 €
collectés
251 jours
restants

Présentation de mon projet 

Afin que nous puissions obtenir un plan d’urgence pour l’Education dans le département de la Seine-Saint-Denis et le retrait de la réforme dit du « choc des savoirs », nous vous invitons à donner une participation financière à notre caisse de solidarité pour les grévistes de notre collège qui ont choisi de se mobiliser massivement pour l'avenir de nos élèves.


A quoi servira l'argent collecté

Cette caisse a pour vocation d’aider l’ensemble des personnels qui se sont mis en grève, et en particulier les personnels les plus précaires pour lesquels un jour de grève est une lourde charge (AESH - Accompagnant·e·s des Elèves en Situation de Handicap ; AED - Assistant·e·s d’Education ; Vacataires ; Personnels contractuels...)


Notre équipe

Historiquement notre établissement se mobilise contre toutes les réformes instaurant le tri social et le mépris des plus défavorisés notamment par la grève reconductible.

Pour les projets

Nous souscrivons pleinement au plan d'urgence demandé par l'intersyndicale 93, à savoir : 

On demande 358 000 000€ au Ministère pour  :

2000 enseignant·e·s pour les 859 écoles 

1000 enseignant·e·s pour les 130 collèges 


 2200 enseignant·e·s pour les 68 lycées 


20 élèves par classe (19 est la moyenne européenne)


Remplacements immédiats


Des toutes petites sections dans toutes les maternelles


Pôle médico-social renforcé 

175 CPE 
650 AED
320 AP
2200 AESH
Rénovation / reconstruction des bâtis scolaires.

MERCI POUR VOTRE SOUTIEN 

700 €
collectés
67 jours
restants

Soutenir les personnes du collège Politzer qui se mettent en grève pour se mobiliser contre la dégradation du service public d'éducation. 

 

450 €
collectés
60 jours
restants

Soutenez la caisse de grève du lycée Louise Michel mise en place dans la lutte contre le choc des savoirs-faire et pour un plan d'urgence pour le 93. 

220 €
collectés
4 jours
restants

Le gouvernement est prêt à dépenser 2 milliards pour des uniformes... inutiles.

Par contre, il ne veut pas financer 358 millions d'euros pour un plan d'urgence pour le 93.

Nous, personnel gréviste du collège Diderot d'Aubervilliers, nous luttons pour obtenir des moyens, des professeurs, des personnels médico-social et vie scolaire, un bâti de qualité.

Les jours de grève s'enchaînent.

Aussi, nous sollicitons la solidarité des habitant.e.s prêt.e.s pour continuer le combat jusqu'à la victoire.

Merci pour votre soutien !

Les personnels du collège Diderot d'Aubervilliers

275 €
collectés
7 jours
restants

Depuis le vendredi 22 mars 2024, les journalistes de La Provence ont voté une grève illimitée en réaction à la "mise en retrait" du directeur de la rédaction Aurélien Viers. Cette décision fait suite à la parution de La Provence, le jeudi 21 mars, portant en une le titre "Il est parti et nous, on est toujours là", des propos d'un habitant de la Castellane rapportés dans un dossier de deux pages. Une "Une" et un titre parus 24h après la venue d'Emmanuel Macron dans cette cité des quartiers Nord de Marseille à l'occasion d'une opération de lutte contre le trafic de drogue.

Vendredi 22 mars, le directeur de la publication Gabriel d'Harcourt publiait un "mot d'excuses", toujours en une, qui désavouait le travail de la rédaction alors qu'aucune faute déontologique n'a été commise ni par la direction de la rédaction, ni par ses journalistes.

L'intersyndicale de la rédaction de La Provence (SNJ, CFE CFC et CFDT) a donc appelé à une grève illimitée, après avoir fait voter une motion de défiance (lire ci-dessous) contre la direction générale de La Provence et la direction de Whynot Média, filiale média de la CMA CGM dirigée par Rodolphe Saadé, et réclame la réintégration immédiate d'Aurélien Viers. Elle propose à ceux qui soutiennent ce combat pour l'indépendance de la presse de soutenir les grévistes à travers cette caisse de grève.

La motion de défiance adoptée le 22 mars 2024 par la rédaction de La Provence

"Ce vendredi 22 mars 2024, la rédaction de La Provence s’est réunie en assemblée générale. De nombreux journalistes du siège et des agences se sont retrouvés en présentiel et en visioconférence en réaction à l'annonce de la mise en retrait du directeur de la rédaction, Aurélien Viers, au motif d’une Une "ambiguë", selon les termes de Jean-Christophe Tortora, directeur de Whynot Media, Laurent Guimier, directeur général délégué à l’information du groupe et Gabriel D’Harcourt, directeur général du groupe La Provence et directeur de la publication. 

La Une incriminée, datée du jeudi 21 mars 2024, qu’ont visionnée le directeur de la rédaction et le directeur de la publication, la veille au soir, traitait de l’après-visite présidentielle à la cité de La Castellane, à Marseille, et titre : "Narcotrafic, 24h après la visite du Président à La Castellane : 'Il est parti et nous, on est toujours là…' " La photo associée montre deux habitants de la cité, au pied d’une tour, devant lesquels passe une représentante des forces de l’ordre, prise au lendemain de la visite d’Emmanuel Macron.

Ce vendredi, à la Une, la rédaction a découvert un mot d’excuse signé du directeur de la publication : "La Une de La Provence de jeudi matin a ému beaucoup d’entre vous. En effet, la citation en Une et la photo d’illustration qui l’accompagnait ont pu laisser croire que nous donnions complaisamment la parole à des trafiquants de drogue décidés à narguer l’autorité publique, ce qui ne reflète en rien les valeurs de la ligne éditoriale de votre journal. Nous avons induit en erreur nos lecteurs et La Provence leur présente ses plus profondes excuses."

Au cours d’une réunion à laquelle étaient conviées les organisations syndicales représentatives de la rédaction, ces dernières ont fait part de leur étonnement quant à la rapidité, l’ampleur et la disproportion prise par cette "affaire".

Si les trois dirigeants ont assuré que "rien n’était décidé quant à d’éventuelles sanctions" visant le directeur de la rédaction, nous estimons que le mal est déjà fait.

Comment les journalistes de la rédaction, désavoués dans ce mot "d’excuse", qu’ils soient au siège ou en région, pourront-ils exercer leur mission d’informer leurs lecteurs avec sérénité, indépendance et sans auto-censure ?

Qui sont ces lecteurs offusqués par cette Une ? "Un certain nombre", nous a répondu Jean-Christophe Tortora sans pour autant nous montrer les messages et se bornant à évoquer une association de locataires. "Cette Une donne le sentiment que La Provence a mis en avant les dealers pour faire un bras d’honneur aux habitants de La Castellane et à la police", assure le patron de Whynot Media qui estime que le journal doit souscrire aux "valeurs républicaines". De son côté, la rédaction n’a eu strictement aucun retour : ni sur le formulaire en ligne, ni par téléphone, ni sur les réseaux, hormis quelques élus locaux et représentants politiques de la majorité présidentielle.

Par cette motion, la rédaction de La Provence se refuse d’exercer ses missions la peur au ventre vis-à-vis de sa direction alors que le métier de journaliste est de plus en plus mis à mal par le pouvoir politique mais aussi par l’opinion publique. Elle réaffirme qu’en l’espèce aucune faute déontologique n’a été commise.

Elle s’inquiète en revanche d’un dangereux précédent. Si la Une est sujet à interprétation, cette séquence également. Nous refusons de tomber dans l’interprétation et ne nous attachons qu’aux faits, rien qu’aux faits. A l’heure où la CMA CGM entend construire un pole média d’envergure nationale, cette "affaire" laisse augurer le pire pour l’ensemble des rédactions de Whynot Media, actuelles et à venir.

Dans ce contexte, nous votons ce jour une motion de défiance à l’encontre de la direction générale de La Provence et de celle de Whynot Media et réclamons la réintégration immédiate du directeur de la rédaction, Aurélien Viers."

Marseille, le 22 mars 2024



A quoi servira l'argent collecté

L'argent collecté permettra de défrayer une partie des journées de salaire perdues par les salariés de la Provence. 

Notre équipe

Le mouvement de grève est conduit par l'intersyndicale SNJ (Solidaires) - CFDT - CFE-CGC 

Pour les projets

Pour nous contacter : snjlaprovence@gmail.com

Mise à jour 25 mars 2024:

La rédaction a voté la fin de la grève le lundi 25 mars après avoir obtenu la réintégration du directeur de la rédaction. 

1 905 €
collectés
Terminé

  Parce que c'est notre projet 

Les employé.es de la boutique Rougier et Plé de Fille du Calvaire travaillent au sein d'un magasin rongée par les souris, subissent de nombreuses inondations qu'ils nettoient par eux-mêmes et connaissent un afflux constant de clients qui ne peut être géré par seulement un ou deux vendeurs par étage, en particulier en fermeture, ce qui résulte en des queues interminables en caisse dues à ce sous-effectif constant.

Les nombreuses discussions formelles comme informelles avec la direction, dont une nouvelle direction entre temps, n'y font rien. Les têtes changent mais les méthodes de management restent les mêmes. 

Nous avons donc réalisé une première grève fructueuse samedi 13 avril 2024, elle marque le début d'une nouvelle ère pour les employé.es Rougier et Plé dans leur ensemble, puisque d'autres boutiques connaissent des problématiques similaires.


Pourquoi partager vos richesses avec nous 🔥

L'argent récolté permet de soutenir les employé.es Rougier et Plé et leur cause dans de futurs grèves et divers projets !

Le projet encore naissant, nous entendons bien étendre sa portée et l'amplifier. 

 

Notre équipe 🔥

Nous sommes la section syndical SUD Rougier et Plé, représenté par la RSS Sam. 

Nous sommes présent.es depuis août 2023 suite à ces mêmes problèmes au sein de la boutique mère. Il est dans notre projet de renouer les liens entre la boutique mère et l'ensemble des autres Rougier et Plé et faire en sorte que la direction comprennent et réalise l'importance de leurs employé.es et la force de ces dernièr.es.


Jouez les messagers camarades🔥

Un soutien financier est évidement un gros plus, mais il existe d'autres formes de soutien. Partagez nos tracts, partagez notre parole et nos vécus, sur les réseaux sociaux comme au sein de votre entourage. 

Mail : syndicatsudrougier@gmail.com

Téléphone : 07 49 87 24 00

Notre site web : https://syndicatsudrougier.carrd.co/

Instagram : https://www.instagram.com/sudrougier/

X (Twitter) : https://x.com/SUDrougier

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15 €
collectés
252 jours
restants