« Il était une fois Guipel, Village d’irréductibles Bretons mobilisés pour sauver leur commerce de proximité! »
Un Café des Possibles c’est une épicerie, un café, un restaurant qui fait vivre le coeur de bourg guipellois par de nombreuses animations tout au long de l’année (concerts, expositions, soirées jeux, marché de noël, guinguettes des possibles sur le canal…). Mais c’est aussi un commerce qui se veut géré par ses utilisateurs. C’est pourquoi en 2018 les porteurs de projet proposaient aux habitants de participer activement à créer ce nouveau commerce dynamique sur la commune, au travers du modèle innovant de la société coopérative d’intérêt collectif. C’est ainsi qu’aux côtés des 3 salariés, une centaine de sociétaires ont participé à cette belle aventure pour faire vivre un commerce de proximité avec de nombreux services dans leur village.
Malheureusement, la situation financière met aujourd’hui en péril l’avenir d’Un Café des Possibles.
La crise du COVID aura failli être la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Mais il aura fallu attendre encore quelques mois et son lot d’inflation, de crise du secteur de la bio, et d’augmentation du coût de l’énergie pour que le commerce se retrouve réellement en danger.
C’est dans ce contexte, qu’une multitude d’actions a été entreprise et auxquelles vous pouvez participer, notamment à travers votre implication et votre soutien financier au travers d’un don sur la plateforme ….
« Nous n’imaginons pas que cette aventure puisse prendre fin, nous avons pris l’habitude de faire nos courses avec des produits de qualité ici dans le bourg, de nous retrouver au café pour discuter, de faire du lien avec les habitants que nous n’avions pas l’occasion de croiser avant. » indique Nicolas, client et sociétaire depuis l’année dernière.
« Parfois, on se dit que les gens ne se rendent pas compte de la chance qu’ils ont d’avoir un restaurant sur leur commune qui cuisinent des produits frais, ou même d’avoir une programmation culturelle aussi riche et variée à deux pas de chez eux ! On se dit aussi qu’il manque si peu pour que la situation soit pérenne, c’est dommage que nous n’ayons pas de soutien de la communauté de communes par exemple» conclut Laura, une sociétaire de la première heure.