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L'ÉTAPE, LE COURT-MÉTRAGE

L’ÉTAPE est un huit-clos queer et social qui met en scène des personnages queer s'alliant pour défendre leur lieu de vie, un bar autogéré mi squat mi scène de spectacle qui se trouve en banlieue parisienne.

Ce film se saisit des codes du female gaze en proposant une découverte des identités LGBTQIA+, sans jamais en faire son sujet.

Ce projet est l'application professionnelle et artistique du
mémoire de recherche (lien cliquable) de Laura (CELSA - Sorbonne Université) qui portait sur les représentations des transidentités à la télévision. Notre parti pris est donc de solliciter des personnes concernées, aussi bien devant que derrière la caméra, afin de proposer un nouveau gaze sur ces identités et leurs narrations. En 2022 nous avons réalisé un teaser du concept avec une équipe technique à 90% composée de femmes, de minorités de genre et de personnes LGBTQ+

Et nous comptons bien réitérer.

LE DUO À L'ORIGINE DU PROJET : LAURA & TADEO

Nous sommes des créateur.ice.s queer, déterminé.e.s à proposer des nouvelles histoires, plus inclusives et plus intersectionnelles ! Cela fait 3 ans que nous travaillons sur le concept de L’ETAPE, sur ses personnages, qui ont grandi avec nous et qui aujourd’hui, s’envolent vers l’aventure du court-métrage !

TADEO : Scénariste-réalisateur, transgenre, queer et racisé, il met un point d’honneur à représenter les identités LGBTIQ+ et intersectionnelles dans ses histoires. Il est fan de cinéma de genre, thriller, horreur, action-aventure, etc. En 2023 il fait le compagnonnage de la Cité Européenne des Scénaristes et l’ESEC en 2017. Il sort la mini-série Drama Queer (Youtube) en 2021 en tant que créateur auteur et réalisateur et depuis travaille sur plusieurs créations de série en cours. En 2022 il écrit et réalise le Teaser de L’ETAPE et remet le couvert avec enthousiasme pour ce court-métrage.

LAURA : Diplômée du CELSA Sorbonne Université à trois titres - Master 2 Médias innovation et création en 2021, Diplôme Étudiant-Entrepreneur (D2E) avec Pépite Sorbonne Université en 2022, Certificat de qualification professionnelle (CQP) Développeur de formats audiovisuels et numériques en 2022 - elle est lauréate du concours Zeugma et remporte 10 000 euros pour son projet de fictions audiovisuelles L’ÉTAPE. Aujourd’hui, Laura est la co-autrice et productrice de ce projet.

POURQUOI FAIT-ON APPEL À VOTRE AIDE ?

Grâce à plusieurs soutiens symboliques et financiers, nous avons pu rassembler à peu près 10 000 euros qui vont nous permettre de financer techniquement le court-métrage - en gros, toute la partie matérielle : caméras, son, lumières…

Nous lançons une cagnotte en ligne parce que notre éthique de production est très claire : nous souhaitons une équipe technique composée principalement de femmes, de minorités de genre et de personnes LGBTQ+. Il est important que les personnes concernées racontent leurs propres histoires, devant et derrière la caméra. Nous aimerions pouvoir défrayer nos artistes pour sortir de la boucle des productions audiovisuelles bénévoles et à perte.

Bref, nous souhaitons valoriser financièrement le travail de toutes les merveilleuses personnes qui vont permettre à ce court-métrage d’exister !

👉 7000 EUROS EST UN OBJECTIF RÉALISABLE QUI NOUS PERMETTRAIT DE DÉFRAYER LES ARTISTES ET TECHNICIEN.NES QUEER 👈

ON VOUS DIT TOUT ET SURTOUT "MERCI"

Vous pouvez suivre l'avancée de notre projet sur notre page instagram @letapelecourtmetrage (lien cliquable) où nous partagerons les coulisses de la création et de la production et bien entendu, d'ici quelques mois, les premières dates de projection auxquelles vous assisterez en tant qu'invité.e.s d'honneur (même si vous donnez 1 euros, et ouais) !

On peut déjà vous annoncer que le tournage aura lieu fin août pendant 5 jours à La Maison Ouverte de Montreuil...!

Artistiquement vôtres,
Laura et Tadeo

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collected
124 days left

As a nursing student, I choose to do one of my final year’s internship as a humanitarian one. I will go to Cambodia from the 2nd of September till the 10th of November 2024 with an association call Globalong. I will do this projet in Phnom Penh, Cambodia's capital city, in the hospital call " The Khmer-Soviet Friendship Hospital ». Most of my actions will be in gynecology and maternity unit but I will be able to go to other departments to discover and help where needed. I will also even go in some orphanage.
I chose Cambodia because I am very sensitive to their History. I already had the chance to traveled, lived and volunteered there. Today with my nursing training, I would like to help to give care and  support to Cambodians.

With your help I will be able to make this project work.The funds raised with this online pot will help me finance it : train ticket Lorient/Paris and flight Paris/Phnom Penh (around 2000€), the way back home and the visa fee (150 €). To cover my life fee for the 10 weeks, I donate 2750€ to the association. I wish to bring some med stuff such as gear or drug, if possible depending on the donations, I could also take clothes and buy hygiene products and school supplies.

Link to my Instagram where I'll share my adventure :

https://www.instagram.com/alz_ln/ & https://www.instagram.com/alz_travelling/ 

Link to the association website with the missions infos : 

https://www.globalong.com/sejour-benevolat/benevolat-cambodge-enfants/benevolat-infirmiere-cambodge.html

Thank you in advance for sharing and donations.

Alizée

139 days left

Depuis le vendredi 22 mars 2024, les journalistes de La Provence ont voté une grève illimitée en réaction à la "mise en retrait" du directeur de la rédaction Aurélien Viers. Cette décision fait suite à la parution de La Provence, le jeudi 21 mars, portant en une le titre "Il est parti et nous, on est toujours là", des propos d'un habitant de la Castellane rapportés dans un dossier de deux pages. Une "Une" et un titre parus 24h après la venue d'Emmanuel Macron dans cette cité des quartiers Nord de Marseille à l'occasion d'une opération de lutte contre le trafic de drogue.

Vendredi 22 mars, le directeur de la publication Gabriel d'Harcourt publiait un "mot d'excuses", toujours en une, qui désavouait le travail de la rédaction alors qu'aucune faute déontologique n'a été commise ni par la direction de la rédaction, ni par ses journalistes.

L'intersyndicale de la rédaction de La Provence (SNJ, CFE CFC et CFDT) a donc appelé à une grève illimitée, après avoir fait voter une motion de défiance (lire ci-dessous) contre la direction générale de La Provence et la direction de Whynot Média, filiale média de la CMA CGM dirigée par Rodolphe Saadé, et réclame la réintégration immédiate d'Aurélien Viers. Elle propose à ceux qui soutiennent ce combat pour l'indépendance de la presse de soutenir les grévistes à travers cette caisse de grève.

La motion de défiance adoptée le 22 mars 2024 par la rédaction de La Provence

"Ce vendredi 22 mars 2024, la rédaction de La Provence s’est réunie en assemblée générale. De nombreux journalistes du siège et des agences se sont retrouvés en présentiel et en visioconférence en réaction à l'annonce de la mise en retrait du directeur de la rédaction, Aurélien Viers, au motif d’une Une "ambiguë", selon les termes de Jean-Christophe Tortora, directeur de Whynot Media, Laurent Guimier, directeur général délégué à l’information du groupe et Gabriel D’Harcourt, directeur général du groupe La Provence et directeur de la publication. 

La Une incriminée, datée du jeudi 21 mars 2024, qu’ont visionnée le directeur de la rédaction et le directeur de la publication, la veille au soir, traitait de l’après-visite présidentielle à la cité de La Castellane, à Marseille, et titre : "Narcotrafic, 24h après la visite du Président à La Castellane : 'Il est parti et nous, on est toujours là…' " La photo associée montre deux habitants de la cité, au pied d’une tour, devant lesquels passe une représentante des forces de l’ordre, prise au lendemain de la visite d’Emmanuel Macron.

Ce vendredi, à la Une, la rédaction a découvert un mot d’excuse signé du directeur de la publication : "La Une de La Provence de jeudi matin a ému beaucoup d’entre vous. En effet, la citation en Une et la photo d’illustration qui l’accompagnait ont pu laisser croire que nous donnions complaisamment la parole à des trafiquants de drogue décidés à narguer l’autorité publique, ce qui ne reflète en rien les valeurs de la ligne éditoriale de votre journal. Nous avons induit en erreur nos lecteurs et La Provence leur présente ses plus profondes excuses."

Au cours d’une réunion à laquelle étaient conviées les organisations syndicales représentatives de la rédaction, ces dernières ont fait part de leur étonnement quant à la rapidité, l’ampleur et la disproportion prise par cette "affaire".

Si les trois dirigeants ont assuré que "rien n’était décidé quant à d’éventuelles sanctions" visant le directeur de la rédaction, nous estimons que le mal est déjà fait.

Comment les journalistes de la rédaction, désavoués dans ce mot "d’excuse", qu’ils soient au siège ou en région, pourront-ils exercer leur mission d’informer leurs lecteurs avec sérénité, indépendance et sans auto-censure ?

Qui sont ces lecteurs offusqués par cette Une ? "Un certain nombre", nous a répondu Jean-Christophe Tortora sans pour autant nous montrer les messages et se bornant à évoquer une association de locataires. "Cette Une donne le sentiment que La Provence a mis en avant les dealers pour faire un bras d’honneur aux habitants de La Castellane et à la police", assure le patron de Whynot Media qui estime que le journal doit souscrire aux "valeurs républicaines". De son côté, la rédaction n’a eu strictement aucun retour : ni sur le formulaire en ligne, ni par téléphone, ni sur les réseaux, hormis quelques élus locaux et représentants politiques de la majorité présidentielle.

Par cette motion, la rédaction de La Provence se refuse d’exercer ses missions la peur au ventre vis-à-vis de sa direction alors que le métier de journaliste est de plus en plus mis à mal par le pouvoir politique mais aussi par l’opinion publique. Elle réaffirme qu’en l’espèce aucune faute déontologique n’a été commise.

Elle s’inquiète en revanche d’un dangereux précédent. Si la Une est sujet à interprétation, cette séquence également. Nous refusons de tomber dans l’interprétation et ne nous attachons qu’aux faits, rien qu’aux faits. A l’heure où la CMA CGM entend construire un pole média d’envergure nationale, cette "affaire" laisse augurer le pire pour l’ensemble des rédactions de Whynot Media, actuelles et à venir.

Dans ce contexte, nous votons ce jour une motion de défiance à l’encontre de la direction générale de La Provence et de celle de Whynot Media et réclamons la réintégration immédiate du directeur de la rédaction, Aurélien Viers."

Marseille, le 22 mars 2024



A quoi servira l'argent collecté

L'argent collecté permettra de défrayer une partie des journées de salaire perdues par les salariés de la Provence. 

Notre équipe

Le mouvement de grève est conduit par l'intersyndicale SNJ (Solidaires) - CFDT - CFE-CGC 

Pour les projets

Pour nous contacter :
snjlaprovence@gmail.com

Mise à jour 25 mars 2024:

La rédaction a voté la fin de la grève le lundi 25 mars après avoir obtenu la réintégration du directeur de la rédaction. 

1310.00 €
collected
16 days left

Vendredi 8 Mars, une tempête a détruit nos serres de cultures. Nous avons donc décidé de lancer une campagne de soutien pour nous aider à rebondir après ce coup dur.

Les 10 000€ dont nous avons besoin pour racheter de nouvelles serres ont été récoltés grâce à votre immense générosité. Nous vous remercions du fond du coeur, celà nous touche énormément. Cet élan de solidarité à une valeur innestimable à nos yeux.

Tous vos messages nous ont donné le courage et l'envie nécessaire pour rebondir de plus belle. 

Comme des personnes continuent de nous adrésser des dons, nous allons laisser la cagnotte ouverte encore quelques temps.

Les dons supplémentaires qui nous seront adréssés serviront à : 

- Terminer de payer la serre qui a été détruite (2860€)

- Contribuer à l'achat des petites serres d'appoints que nous avons acheté en urgence (850€)

- Amortir nos pertes et nos retards de récoltes (difficilement quantifiable). 

ENCORE MERCI, VOTRE SOUTIEN NOUS DONNE UNE IMMENSE FORCE !

Nous sommes Hugo et Basile, deux frères qui avons décidé de se lancer dans l’aventure paysanne en nous installant en tant que maraîchers dans l’Aude, non loin de Carcassonne, là où nous avons grandi.

N’étant pas du milieu agricole et n’ayant pas encore les qualifications nécessaires, nous avons acquis notre expérience en travaillant chez des maraîchers depuis 2021 et encore aujourd’hui. En parallèle, nous avons suivi plusieurs formations pour parfaire nos connaissances. Accompagnés par l’ADEAR, nous avons appris l’existence des Espaces-Test Agricoles, et notamment de Graines de Paysans. Nous avons décidé de commencer notre aventure en testant notre activité et en étant accompagnés par cette structure.

Après plus d’un an de recherche, nous avons trouvé un endroit idéal pour nous installer, La ferme des Bouriettes à Fraïssé-Cabardès, dans la Montagne Noire. Cette ferme appartient à la foncière agricole Fermes en Vie, sur laquelle nous sommes 3 porteurs de projet à travailler. Nous voulons cultiver en Agriculture Biologique, sur petite surface (2500m² de pleins champs et 1000 m² de serres), et vendre notre production en circuit court (paniers, marchés, vente à la ferme, magasins de producteurs). La terre que nous louons est en conversion AB. Nous sommes entrés sur les terres en février 2023.  A cette période, la parcelle était un champ labouré.

Pour démarrer notre activité, nous avons planté et cultivé 2000 fraisiers qui ont donné près d’une tonne de fraises sur l’été 2023, très appréciées de nos clients. En parallèle, nous avons préparé 7 autres jardins pour produire des légumes d’automne (salade, fenouils, choux, courges, radis, navets, carottes, poireaux, persil, etc.). Nous avons vendu tous nos légumes sous forme de paniers sur les communes de Fraïssé-Cabardès et Carcassonne, ainsi qu’à la boutique paysanne de Carcassonne La Borieta.

 

 

Pour pouvoir avoir des légumes primeurs en début de saison (mars/avril), et avoir des légumes en hiver, nous avons besoin de serres.

Nous avons donc monté une serre de 1000m² entre septembre 2023 et janvier 2024. Ce fut un chantier long et laborieux, où de nombreuses personnes sont venues nous aider à maintes reprises.

Mi-janvier 2024, nous avons planté nos premières salades et semé nos premières carottes sous les serres.

Début mars, le printemps arrivant, nous plantions nos 150 pieds de courgettes, et nous nous apprêtions à planter nos 120 pieds de tomates. Mais le 8 mars, une violente rafale de vent est venue balayer notre serre et la réduire en miettes. Tout notre travail de plusieurs mois réduit à néant. Ce fut un gros coup dur à encaisser, sachant que nous travaillons énormément sans pouvoir nous rémunérer car nous réinvestissons tout dans l’achat de matériel nécessaire à la production de légumes. Ces serres étaient notre dernier gros investissement et nous envisagions de commencer à nous rémunérer à l’été 2024. 

Ne nous laissant pas abattre, nous avons décidé de battre le fer tant qu’il était encore chaud. Grâce à la solidarité des voisin.e.s, ami.e.s, collègues, passant.e.s, nous avons pu nettoyer et préparer l’évacuation des décombres dès le lendemain matin. Encore merci à ces personnes.

 

Ce coup de vent nous a coûté 9160€ de matériel détruit (serre, bâches, tuyaux d’irrigation). A cela, nous pouvons ajouter les 150 pieds de courgettes qui ne pourrons pas être conduits correctement et les 15 autres planches de légumes qui se retrouvent à l’extérieur alors que l’hiver n’est pas terminé. Ce qui nous fait une perte totale estimée à environ 10 000€, tout compris, sans compter le temps de travail passé à monter la serre et le manque à gagner puisque nous n’avons plus de serres pour planter nos légumes d’été, tomates, aubergines, concombre, poivrons, dont les plantations étaient en train d’être réalisées.

Nous avons acheté des petites serres de dépannage pour essayer de sauver notre saison et planter nos légumes d’été, à hauteur de 900€.

Afin de pouvoir travailler dans des conditions convenables et optimiser notre production primeur nous permettant de vivre de notre métier, nous avons besoin de réinvestir dans de véritables serres.

Pour éviter que ce genre d’accident ne se répète, nous avons décidé de changer le sens de nos serres pour que la prise au vent soit moins forte, et de choisir des serres avec une armature plus solide.

Nous avons identifié des serres d’occasion chez un collègue maraîcher qui pourraient convenir, à un prix de 7000€. A cela, nous devons ajouter le prix des bâches et de l’irrigation, qui est de 3000€.

C’est pourquoi nous avons choisi de faire appel à la générosité et à la solidarité de celles et ceux, qui croient, soutiennent, participent, suivent de près ou de loin ce projet, consomment nos légumes ou simplement veulent soutenir un projet nourricier sur le territoire audois, afin de nous aider à réaliser cet investissement crucial pour notre production.

D’avance, merci à vous.

12508.90 €
collected
63 days left
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